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7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 21:16
Bon, c'est vrai, la Gazette  se laisse un peu aller à faire de la pub...
C'est  juste qu'elle a envie de vous faire profiter de ce que votre rédactrice a découvert aujourd'hui dans ces papillotes cacaotées : telles les fameuses blagues Carambar, des citations  à propos du chocolat !

Allez hop, une ou deux pour vous mettre en  bouche ?

D'autres aliments ne sont que nourriture, mais le chocolat est chocolat.
(P. Sken Catling)



Ou encore :


Neuf personnes sur dix aiment le chocolat, la dixième ment.

Mais ma préférée , je ne l'ai pas lue dans une bouchée Cémoi... je l'ai entendue de la bouche de mon Angel 2:

"Le chocolat, LUI, ne m'a jamais  trahie" .

CQFD
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29 décembre 2007 6 29 /12 /décembre /2007 15:25
... Renan Luce.
C'est la mode musicale de la Bottine depuis que le père Noël a déposé cet album ( + DVD, non encore visionné) dans les santiags roses de votre gazetière.
"Repenti", est un album à rêver et à voyager.
On connaissait "La lettre", petite comédie dramatique adorable sur fond de falaise normande et d'erreur de facteur : on aimait déjà. ***
On fredonnait aussi en cadence et joyeusement "Les voisines", sans s'en lasser.
Passant du fil à linge de ces chères voisines, on continuera avec bonheur à glisser sur la corde de funambule du Lacrymal Circus, (où l'on voit c'qu'on veut y voir... ) plus vrai que nature.
De petit bonheur en malheur poignant, on se retrouvera encore devant une chanson-film, Repenti, qui donne son nom à l'album : un mafieux qui a trahi nous fait partager son triste quotidien de criminel déchu. C'est tricoté de petits mots qui sont autant de balles atteignant leur but, en plein coeur.
Je suis une feuille est un long poème à suspens, qui nous mène d'un début nostalgique à une fin poignante, et qui nous laisse la larme à l'oeil...
Quant à Monsieur Marcel, fossoyeur narcoleptique, il pourrait presque être  disons...le fils naturel du poinçonneur des Lilas et d'un héros de Bobby Lapointe.

Vraiment, vous l'aurez compris, ce jeune Renan a du talent, et son album est varié, tant de point de vue des textes que des musiques : ne passez pas à côté (et merci à Vianne, qui a eu la délicatesse de s'apercevoir que sa petite Môman chantouillait à qui voulait l'entendre les trois mêmes phrases de La Lettre, entendue une fois à la radio, et qui a eu la super bonne idée de trouver QUI était ce chanteur...puis la deuxième super bonne idée de m'offrir son CD !)

*** pour les initiés qui ont lu Sens Issus, vous vous doutez bien que les lettres perdues et les paysages normands ou bretons, ça fait tilt aux oreilles de la Gazetière !

Repenti

Repenti
Album de Renan Luce

Année : 2006
Label : Barclay


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26 décembre 2007 3 26 /12 /décembre /2007 14:01
... on ne l'a pas du tout lu, et on  ne se permettrait pas de le recommander ni d'en faire une critique quelconque !
Toutefois, on signale l'existence de cet ouvrage probablement INCONTOURNABLE (surtout pour certain, qui subit une délocalisation involontaire au nord de la Loire, et qui se reconnaîtra!).

Le chef-d'oeuvre, donc :

« Les Petites Bottines » éditions Christian Pirot 1988 260 pages couverture et dessins de Phil Donny

A partir d'une enquête extrêmement fouillée, Jean-François Donny fait revivre l'univers englouti des maisons closes de Bourges. Les Petites Bottines sont le lieu de rencontres hot et in. L'enquête est alerte, le style enlevé, l'anecdote colorée. Jarretelles et nostalgie sont au rendez-vous.

bottines.jpg

Bon, ici, on reste modeste : c'est juste LA Bottine, hein !
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24 décembre 2007 1 24 /12 /décembre /2007 11:40
... il est dans la Cour des Grands, notre  angelblog ami.
Ne vous encombrez pas de bagages inutiles, ouvrez juste vos mirettes jolies en grand, et bonne route !!!

http://dans-la-cour-des-grands.over-blog.com/article-14912282.html

http://dans-la-cour-des-grands.over-blog.com/article-14913654.html
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20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 20:25
Oui, casting, parce que j'ai oublié de vous dire que l'éclat éternel de l'âme immaculée, ben, c'est comme un graaaaaaaaaaand bal masqué où se côtoient Marie-Antoinette (sans Fersen), Frodon (sans son anneau),  la rescapée du Titanic (sans son Irlandais et sans ses malles-cabines),  Bruce Tout-Puissant (sans Dieu)....
La fête quoi !!!!
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20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 19:23
Et si on était toujours attiré par le même genre de personnes, forcément ?
ET si on était fait pour une seule personne, ce serait possible, ça ?
Et si on avait une seconde chance, referait-on "pareil" ?
L'oubli est-il une étape qui aide à faire son deuil ?
Est-on plus vivant, plus libre si nos souvenirs n'existent plus? Ou alors, est-ce exactement le contraire?
De quoi sommes-nous prisonniers ? De notre mémoire, de nos actes passés ou de l'ardoise effacée ?
Et une ardoise effacée est-elle une ardoise vierge ?

Et nos rêves, dans quelle mesure parvient-on à les "téléguider" ?

Et le couple... le couple, c'est quoi ? 
Qu'est-ce qui le lie, le resserre, l'éloigne, le délie  ? 
Faut-il être semblables ou opposés pour s'entendre ?
Aimer, désaimer. S'attacher, se désattacher.  A quoi ça tient ? Comment fait-on ?
ça se détricote comment un amour compliqué ?
Autant de questions aussi simples que leurs réponses, s'il jamais il y en a, seraient compliquées à dérouler...
Un puzzle de  moments-rires et de moments-pleurs,  du dehors-dedans où on démêle difficilement le vrai-qui-se-passe-maintenant du vrai-qui-s'est-passé-avant, du rêve-qui-est-vrai-pourtant... Du Rêve Vrai puisqu'il se  VOIT sur un écran d'ordinateur, non ?
Bon, d'accord, on est dans de la science-fiction, mais plus une science-fiction proche de la psychanalyse et de l'hypnose à qui on aurait donné une légitimité scientifique et rationnelle, que d'une science-fiction Guerre des Etoiles ou Terminator!
Car l'histoire est humaine, profondément et exclusivement. Et romantique, sans aucun doute possible. Bref, vous l'aurez compris, la Gazette l'adore pour plusieurs raisons :
- y a de l'amour, du vrai, du beau, du fort, du qui résiste aux obstacles les plus terribles
- y a du suspens, on palpite, on tremble, on espère, on se désole, on sourit, on y croit, on n'y croit plus mais...
- c'est compliqué à souhait, et ça permet  à ceux qui  apprécient l'exercice, de se faire des noeuds au cerveau ...

N'allez pas en conclure hâtivement, sous le coup d'un préjugé malvenu, que c'est un film rien que pour les filles ! (je dis ça àa cause des noeuds au cerveau, il parîtrait que ça serait un truc de nanas, ça... Mais bon, c'est les mecs qui le disent!) Oh non, je vous assure que les hommes l'aiment aussi, ce petit bijou cinématographique non identifié...
Enfin... certains d'entre vous, lecteurs avertis (ou) cultivés, l'auront reconnu, peut-être... ?
Un petit film génial qui m'avait scotchée à sa sortie en 2004... Mais à l'époque, point de Gazette pour vous faire partager mon enthousiasme !
Je profite donc de son visionnage sous forme dévédesque hier durant mon coma pseudo-grippeux pour faire, ENFIN, ici, dans ces prestigieuses colonnes, la critique qu'il méritait depuis plus de trois ans :

1935.jpg
 
Affiche du film Eternal sunshine of the spotless mind
REGARDEZ D'URGENCE
"Eternal sunshine of the spotless mind"
!!!!!!!!!!!!!!!!!
(et si c'est possible pour vous, regardez-le en compagnie de votre amoureux/amoureuse, c'est forcément encore mieux )
 
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20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 11:14

On ferait comme si le feuilleton durait encore et on dirait :

S comme…. 

 

Snif-Snif-pas marrant d’être malade mais Sa va mieux et puis Sa Sent Noël à plein nez ici : j’en veux pour preuve la nouvelle Sonnerie qui nous réveille au caS où on Somnolerait devant nos SauffageS radiantS : l'enregistrement en live des 3 PRO qui S’éclatent à la flûte sur Jingle BellS… Ah ! Croyez-moi, Sa envoie du bois !!!!  Suis ben contente d’être reSSuScitée pour entendre Sa ! ;-D

Et guinette sur la bûche : demain, façon Armée du Salut, ils se baladeront dans le collège (salle des profs eSSentiellement) en flûtant des chants de saison !!! On s'enthousiasmera, ça va sans dire, surtout pour les 
3 PRO qui nous enthousiasment spontanément rarement....(les pauvres).

(Oui, je Sais tous les ç, à force d’avoir tiré sur leur cédille, l’ont perdue et maintenant on dirait des S Serpentiformes !)

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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 17:52
...même si ce n'est plus du tout un scoop, tant pis... la Gazette ne  va pas attendre mercredi pour faire sa UNE avec les fiancés de Noël !


A Disneyland, l'amour réchauffe un climat  météorologiquement glacial.
Voilà des coeurs qui battent la chamade !


Décidément, Nicolas aime les top-models et celles-ci le lui rendent bien!

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11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 19:40

... sans point.

Mon Dieu, mais quelle pagaïe, n’est ce pas ? La pagaïe devient pagaie, et on rame on rame… Pas gai du tout, je vous assure ! Pas de point sur les i, pas de mise au point salutaire, aucun point d’honneur, pas de bon point pour récompenser, pas de point à la ligne, ni final, ni de un point c’est tout ! Comment clouer le bec, sans point(e) ? Adieu le point de côté, qui nous oblige à reprendre notre souffle… et les points noirs sur le nez des ados (ça, bon, on pourrait peut-être s’en passer). Nul point-presse pour acheter son journal, pas de point-info, ni de point-rencontre : la gare devient un désert habité d’errants ne sachant où s’arrêter, où se retrouver… Et les musiciens sans leur point d'orgue ! Ni point de croix, ni point-mousse, ni petit point... Point à l'envers, point à l'endroit : mais que faire de nos jolis petits doigts? Quant aux profs de maths, ils ne seraient pas plus avancés que leurs collègues de lettres : que faire de ces longues droites infinies, et ces graphiques compliqués, si on ne peut les découper et les décorer grâce aux points qu’on y pose ???

Eh bien, lecteurs curieux et adorés, nos chers petits points dont on ne se passerait plus, n’ont pas toujours existé ! enfin, ils ne sont pas nés en même temps que l’écriture, voilà ce que je voulais dire.

Car autrefois (je vous parle d’un temps que les moins de 2500 ans ne peuvent pas connaître), on écrivait SANS POINT. (Mais ça, arrivés à ce point du discours, vous l’aviez peut-être pressenti, non ?) Ou alors, au contraire, on en mettait partout…

Je vous explique, car je vois bien que vous désirez ardemment savoir ce que j’ai à vous apprendre.

On tourne la manivelle à remonter le temps et on s’arrête sans brusquerie, en n’oubliant pas rétrograder, au Ve siècle avant le Petit Jésus, chez les Grecs. Ces gens-là écrivent, ils écrivent même beaucoup et ils réfléchissent énormément. Du coup, les idées s’enchaînent, et les mots aussi, les uns après les autres, aussi fluides que des mots parlés… Au bout d’un moment, dans un souci de clarté, ils décident (les Grecs, pas les mots), qu’il serait bon de mettre un peu d’ordre là-dedans, hein, quand même !!!

On va donc commencer par un premier tri au niveau du paragraphe. Quand on estime qu’on a fini avec une idée (ou une partie de l’idée générale), on trace un trait après le dernier mot. Et on embraye à la suite, sans retour à la ligne.

Oui, parce que, n’est ce pas, la tablette de cire, de pierre, de terre, le papyrus, le parchemin, tout ça, avant le papier, ça coûte trèèèèèèèès cher et ça n’abonde pas. Donc, bien sûr, on économise : on serre les mots, on rentre des lettres dans d’autres, on abrège autant qu’on peut…et ça va durer des siècles, jusqu’à M. Gütenberg cette politique de l’économie, ce développement durable avant l’heure.

Fin de la digression.
Un trait, un paragraphe ; un paragraphe, une idée. Merci les Grecs. Bon début.
Trois siècles (à la louche) passent, et Aristophane de Byzance (un « collègue » à moi, directeur de la bibliothèque d’Alexandrie en – 195… ;-)) ) invente, dans un souci de clarté, une ponctuation originale à l'aide du POINT (le voilà enfin!!!) 
  Ala fin d’un groupe de mots, un point « en haut », alias "point parfait", signifiait la pensée parfaite (achevée), soit le rôle de notre « point à la ligne ». Posé à mi-hauteur de la dernière lettre, le « point moyen » marquait une idée en suspens, comme le fait notre actuelle virgule. Enfin, le « sous-point », posé en bas, servait à présenter la démonstration de l’idée : il était l’équivalent de nos deux points.

Vous voyez que tout était inventé…et qu’il n’y avait « plus qu’à »… Mais on a attendu longtemps, puisque c’est avec l’imprimerie que la ponctuation est entrée dans les mœurs, ne stabilisant ses règles qu’au XIXe siècle…

Pour la bonne bouche, je vous donne les noms merveilleux des ancêtres de nos ? et ! ….

Le premier, charmante arabesque, se nommait dans l’Italie du XIVe siècle le « point interrogeant » ou le « point suppliant »… Quant au point d’exclamation, je garde le meilleur pour la fin, il répondait au doux noms de « point admiratif » ou… « point pathétique » !

J’adore !

Point final.

Cet article est écrit grâce au site de l'université de Cergy-Pontoise (des copains de Martial!):

http://www.u-cergy.fr/article42.html

 

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 15:22
...là, ce n'est pas ma pause, mais vu l'urgence du sujet, je publie de suite :
requin4-copie-1.gif
A toutes les dauphines, ATTENTION,  certains requins , semblerait-il, se comporteraient comme des dauphins à offrandes !!!!
A vous de voir si  lesdits requins ont leurs chances...



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