20 décembre 2007
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19:23
Et si on était toujours attiré par le même genre de personnes, forcément ?
ET si on était fait pour une seule personne, ce serait possible, ça ?
Et si on avait une seconde chance, referait-on "pareil" ?
L'oubli est-il une étape qui aide à faire son deuil ?
Est-on plus vivant, plus libre si nos souvenirs n'existent plus? Ou alors, est-ce exactement le contraire?
De quoi sommes-nous prisonniers ? De notre mémoire, de nos actes passés ou de l'ardoise effacée ?
Et une ardoise effacée est-elle une ardoise vierge ?
Et nos rêves, dans quelle mesure parvient-on à les "téléguider" ?
Et le couple... le couple, c'est quoi ?
Qu'est-ce qui le lie, le resserre, l'éloigne, le délie ?
Faut-il être semblables ou opposés pour s'entendre ?
Aimer, désaimer. S'attacher, se désattacher. A quoi ça tient ? Comment fait-on ?
ça se détricote comment un amour compliqué ?
Autant de questions aussi simples que leurs réponses, s'il jamais il y en a, seraient compliquées à dérouler...
Un puzzle de moments-rires et de moments-pleurs, du dehors-dedans où on démêle difficilement le vrai-qui-se-passe-maintenant du vrai-qui-s'est-passé-avant, du rêve-qui-est-vrai-pourtant... Du Rêve Vrai puisqu'il se VOIT sur un écran d'ordinateur, non ?
Bon, d'accord, on est dans de la science-fiction, mais plus une science-fiction proche de la psychanalyse et de l'hypnose à qui on aurait donné une légitimité scientifique et rationnelle, que d'une science-fiction Guerre des Etoiles ou Terminator!
Car l'histoire est humaine, profondément et exclusivement. Et romantique, sans aucun doute possible. Bref, vous l'aurez compris, la Gazette l'adore pour plusieurs raisons :
- y a de l'amour, du vrai, du beau, du fort, du qui résiste aux obstacles les plus terribles
- y a du suspens, on palpite, on tremble, on espère, on se désole, on sourit, on y croit, on n'y croit plus mais...
- c'est compliqué à souhait, et ça permet à ceux qui apprécient l'exercice, de se faire des noeuds au cerveau ...
N'allez pas en conclure hâtivement, sous le coup d'un préjugé malvenu, que c'est un film rien que pour les filles ! (je dis ça àa cause des noeuds au cerveau, il parîtrait que ça serait un truc de nanas, ça... Mais bon, c'est les mecs qui le disent!) Oh non, je vous assure que les hommes l'aiment aussi, ce petit bijou cinématographique non identifié...
Enfin... certains d'entre vous, lecteurs avertis (ou) cultivés, l'auront reconnu, peut-être... ?
Un petit film génial qui m'avait scotchée à sa sortie en 2004... Mais à l'époque, point de Gazette pour vous faire partager mon enthousiasme !
Je profite donc de son visionnage sous forme dévédesque hier durant mon coma pseudo-grippeux pour faire, ENFIN, ici, dans ces prestigieuses colonnes, la critique qu'il méritait depuis plus de trois ans :

ET si on était fait pour une seule personne, ce serait possible, ça ?
Et si on avait une seconde chance, referait-on "pareil" ?
L'oubli est-il une étape qui aide à faire son deuil ?
Est-on plus vivant, plus libre si nos souvenirs n'existent plus? Ou alors, est-ce exactement le contraire?
De quoi sommes-nous prisonniers ? De notre mémoire, de nos actes passés ou de l'ardoise effacée ?
Et une ardoise effacée est-elle une ardoise vierge ?
Et nos rêves, dans quelle mesure parvient-on à les "téléguider" ?
Et le couple... le couple, c'est quoi ?
Qu'est-ce qui le lie, le resserre, l'éloigne, le délie ?
Faut-il être semblables ou opposés pour s'entendre ?
Aimer, désaimer. S'attacher, se désattacher. A quoi ça tient ? Comment fait-on ?
ça se détricote comment un amour compliqué ?
Autant de questions aussi simples que leurs réponses, s'il jamais il y en a, seraient compliquées à dérouler...
Un puzzle de moments-rires et de moments-pleurs, du dehors-dedans où on démêle difficilement le vrai-qui-se-passe-maintenant du vrai-qui-s'est-passé-avant, du rêve-qui-est-vrai-pourtant... Du Rêve Vrai puisqu'il se VOIT sur un écran d'ordinateur, non ?
Bon, d'accord, on est dans de la science-fiction, mais plus une science-fiction proche de la psychanalyse et de l'hypnose à qui on aurait donné une légitimité scientifique et rationnelle, que d'une science-fiction Guerre des Etoiles ou Terminator!
Car l'histoire est humaine, profondément et exclusivement. Et romantique, sans aucun doute possible. Bref, vous l'aurez compris, la Gazette l'adore pour plusieurs raisons :
- y a de l'amour, du vrai, du beau, du fort, du qui résiste aux obstacles les plus terribles
- y a du suspens, on palpite, on tremble, on espère, on se désole, on sourit, on y croit, on n'y croit plus mais...
- c'est compliqué à souhait, et ça permet à ceux qui apprécient l'exercice, de se faire des noeuds au cerveau ...
N'allez pas en conclure hâtivement, sous le coup d'un préjugé malvenu, que c'est un film rien que pour les filles ! (je dis ça àa cause des noeuds au cerveau, il parîtrait que ça serait un truc de nanas, ça... Mais bon, c'est les mecs qui le disent!) Oh non, je vous assure que les hommes l'aiment aussi, ce petit bijou cinématographique non identifié...
Enfin... certains d'entre vous, lecteurs avertis (ou) cultivés, l'auront reconnu, peut-être... ?
Un petit film génial qui m'avait scotchée à sa sortie en 2004... Mais à l'époque, point de Gazette pour vous faire partager mon enthousiasme !
Je profite donc de son visionnage sous forme dévédesque hier durant mon coma pseudo-grippeux pour faire, ENFIN, ici, dans ces prestigieuses colonnes, la critique qu'il méritait depuis plus de trois ans :


REGARDEZ D'URGENCE
"Eternal sunshine of the spotless mind"
!!!!!!!!!!!!!!!!!
(et si c'est possible pour vous, regardez-le en compagnie de votre amoureux/amoureuse, c'est forcément encore mieux )
"Eternal sunshine of the spotless mind"
!!!!!!!!!!!!!!!!!
(et si c'est possible pour vous, regardez-le en compagnie de votre amoureux/amoureuse, c'est forcément encore mieux )