20 février 2008
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15:40
Préparant ma séance de KT, je relis avec délectation la vie de ma Sainte patronne - en vérité, une bienheureuse seulement, mais, connue pour sa modestie, je suis sûre que ça lui suffit.
On l'appelle pourtant Sainte Isabelle de France.
Ce n'est pas une princesse de légende. Nous avons d'elle le portrait vivant qu'a écrit l'une de ses dames d'honneur, Agnès d'Harcourt, qui deviendra par la suite abbesse de Longchamp. Dès son plus jeune âge, cette soeur du roi Saint Louis (sainte famille !!!) fut attirée par les choses célestes les anges, toujours les anges...). Elle était gracieuse et belle. Près de sa mère, Blanche de Castille, elle tint son rang au palais royal, mais en passant beaucoup de temps avec les pauvres et les lépreux.
Forte tête sous des dehors dociles, elle réussit à ne point se laisser marier à Conrad, le fils de l'empereur Frédéric II, malgré les instances du Pape.
Après la mort de sa mère, elle fit ce qui lui plaisait : elle partit vivre à l'écart du monde dans une petite maisonnette, près du couvent de Longchamp qu'elle avait bâti à Paris pour les clarisses. Elle y mena une vie d'austérité et de prière, sans prononcer pour autant des voeux de religion...
Une pieuse laïque que j'admire beaucoup et qui mourut en 1270.
On l'appelle pourtant Sainte Isabelle de France.
Ce n'est pas une princesse de légende. Nous avons d'elle le portrait vivant qu'a écrit l'une de ses dames d'honneur, Agnès d'Harcourt, qui deviendra par la suite abbesse de Longchamp. Dès son plus jeune âge, cette soeur du roi Saint Louis (sainte famille !!!) fut attirée par les choses célestes les anges, toujours les anges...). Elle était gracieuse et belle. Près de sa mère, Blanche de Castille, elle tint son rang au palais royal, mais en passant beaucoup de temps avec les pauvres et les lépreux.
Forte tête sous des dehors dociles, elle réussit à ne point se laisser marier à Conrad, le fils de l'empereur Frédéric II, malgré les instances du Pape.
Après la mort de sa mère, elle fit ce qui lui plaisait : elle partit vivre à l'écart du monde dans une petite maisonnette, près du couvent de Longchamp qu'elle avait bâti à Paris pour les clarisses. Elle y mena une vie d'austérité et de prière, sans prononcer pour autant des voeux de religion...
Une pieuse laïque que j'admire beaucoup et qui mourut en 1270.
Merci Maman, merci Papa, de m'avoir donné ce joli prénom !