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11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 17:07
La Gazette  s'engage, la Gazette tient ses engagements.

On avait dit : un article pour chaque match. Il y aura donc : un article pour chaque match.

Aujourd'hui, un peu d'histoire et d'étymologie, afin de bien circonscrire le sujet d'étude.

Et d'abord, le SCOOP pour les ignares en géo de mon espèce : le Portugal ne s'appelle pas officiellement le Portugal mais la République portugaise !
Vous le saviez, vous ???

Image:Flag of Portugal.svg
Ci-dessus, le drapeau de la Républica Portuguesa

Autrefois, toutefois, il se nommait bien PORTUGAL et je vais même vous dire POURQUOI.

Au IXe siècle, le premier comté au nord était nommé Terra Portucalensis, c'est-à-dire la terre de Portus Cale, du nom de deux villes à l'embouchure du Douros, Portus et Cale !!!

Ce que Portus est devenu, on le devine aisément, ayant donné son nom à un plus que célèvre vin "madérisé"...
Quant à Cale, rien à voir, elle a pris de lettres de noblesse et un peu la grosse tête : elle s'appelle maintetant Villa Nova de Gaia.
Vachement plus classe !


Découvrez Georges Moustaki!
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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 18:24
Prenez un communiant
Des invités, dans un jardin
Un curé qui sert le vin
Des grands-mères ravies
Des entrées originales et délicieuses
Du saumon qui fait envie...
Quelques plateaux de fromage bien garnis
Un modeste panier de fruits (sur lequel votre gazetière à un peu craqué!)
De charmants petits choux et de la nougatine

Mélangez le tout en assaisonnant de rires, conversations joyeuses, vinho verde, champagne, manzana etc...

Savourez : vous avez une Première Communion réussie !!!
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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 09:11
Chers lecteurs, il paraît, au vu des commentaires qui traînent après le dernier article, que la Gazette a porté bonheur au Portugal (en matière de futeball) !!!
Mon tango hésitation, porté par le rock d'Iggy, aurait donc quelques vertus victorantes ???

Alleluia, Alleluia !

L'Ange Petit propose un article chaque fois que le Portugal jouera, et la Gazette, belle joueuse, répond : CHICHE !

--> A la combattante équipe de demeurer assez longtemps en lice, pour qu'un véritable feuilleton dans la bonne vieille tradition, puisse tenir en haleine le lectorat avide de la Vie en Rose !

--> A la communauté de DonaldVille Nord de tenir la Rédaction informée des dates et heures des représentations : votre gazetière avoue qu'elle pourrait passer à côté de l'info, on ne sait jamais ! Je vais peut-être me créer une alerte Google actualités...

--> A la Gazette, enfin, d'imaginer comment aborder le riche sujet PORTUGAL pour en faire une saga palpitante... qui ne parle pas de foot !

Image:Coat of arms of Portugal.svg

Découvrez Various!
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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 13:40
Elle s'appelait Brigitte, et c'était la maman de Guillaume. Le grand ami de votre gazetière depuis looooongtemps.
Depuis jeudi dernier, on avait le coeur lourd, car on savait que très bientôt ...
Samedi, on a su que.
Demain matin, on lui dira adieu à l'église Saint-Louis.
C'est un tout petit article de rien du tout, mais c'est un article important.

Bon voyage, Brigitte.
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2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 16:10
Depuis quelques jours, la pression montait.
La classe audio-visuel de 4.1 participe à vidéo-bahut. Remise du reportage à France 3 cette semaine.
On ne compte plus les heures passées à monter, couper, remonter, démonter, recouper...tout cela dans un des aquariums du CDI, où trône LE PC dévolu à la vidéo.
Aujourd'hui, on filme tout ce qui n'a pas encore été filmé : les élèves en train de réfléchir en vrai faux-direct sur les actions à conduire pour la mise en place d'un Agenda 21 au collège, les mêmes élèves en train d'exposer brillamment leurs opinions (essaie de faire des phrases, allez, lâche-toi, ça va aller), idées et initiatives (tu te rappelles ce qu'on avait dit qu'on disait...?). Le chef, qui répète prise après prise, comment on traite les ordures dans cet établissement. Quand je dis ordures, les déchets dont je parle sont issus de la demi-pension, du fonctionnement des classes etc. En aucun cas, il ne faudrait y voir une personnification desdites ordures. Non, on parle, comme d'hab, du compost et des cocottes.
Le chef en a marre de redire 20 fois la même chose : il râle en rigolant, qu'il répète les mêmes âneries en boucle et qu'il veut un coussin, car, à cheval sur le bac à BD, il a mal aux fesses. Un coussin, brame-t-il dans une indifférence désespérante. Mince, il a nommé une marque, bon, on recommence. Bon, là, le caméraman a un souci : le crâne du principal brille trop. Le soleil s'est levé, et la lumière est trop violente. Pas ma faute si ma tête est propre, se défend notre luisant chef d'établissement. Personne n'a de la poudre ? Ah ben tiens, je me vois bien en train de poudrer le chef du chef !!! On baisse le volet ? Non, il est cassé depuis bien longtemps. Tout tombe en ruine dans ce CDI, la faute à la doc, évidemment. La poubelle-cocotte, elle est carrément explosée : impossible de la filmer. Bon, alors, je parlerai des cocottes tout à l'heure, quand on en filmera une qui se tient bien.  Non, non, intégrez les cocottes maintenant. Question cocottes, on est servi : ça glousse dans tous les coins, dans cette ambiance surchauffée. Une bonne trentaine d'ados surexcités, ça crée une énergie absolument incroyable.
Irruption de la chef-adjointe, ulcérée parce qu'un représentant de livres en pré-pilon expose sa marchandise en salle des profs et qu'elle a vu des profs, justement faire des chèques : elle trouve cela abusif, le chef, qui donne l'autorisation de ce type de vente honteuse dans un établissement public,  en prend pour son grade, bien poliment, mais elle laisse, en partant, un sillage brûlant de mauvaise humeur bouillonnante... Finalement, j'ai peur qu'avec notre Agenda 21 on participe paradoxalement au réchauffement climatique...
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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 13:22


Il fut un temps, sans remonter trop loin.
Il fut un temps, c'était le mien, comme diraient mes filles (bien que je leur réponde que mon temps c'est MAINTENANT!).
Il fut un temps, en 1981, où je passai mon bac de dinosaure : A1, en voie d'extinction à l'époque, largement disparu depuis. Latin, grec, allemand et zéro maths. Du sur-mesure pour votre gazetière.
En ce temps-là, si j'avais voulu, j'aurais passé, quelques semaines après mon bac, le concours de l'Ecole Normale d'Instituteurs (je sais, y en a que ça fait rire !).
En ce temps-là, j'avais momentanément 18 ans, et pour toujours, des certitudes inébranlables. Dont celle de ne jamais être enseignante. Je n'ai donc pas passé le concours. Mais une de mes cousines, celle qui partage mon cher patronyme, l'a fait, elle.
Elle a donc passé ce concours, elle a intégré l'EN et elle y a appris à être maîtresse d'école durant trois ans. Trois ans où elle était payée. Pas grassement, mais de quoi vivre de façon autonome et faire ses études tranquille, à condition d'en prendre pour 10 ans.
Oui, dans l'Education Nationale, c'est de l'engagement, pire qu'à la Légion Etrangère ! Je précise que dans les 10 ans, les 3 ans d'étude sont comptés. Restent 7 années à servir la République, en compensation de ce qu'elle nous a enseigné à enseigner.
C'était le temps où on était instit, avec, en poche : un bac, un concours, trois années de formation, des exams, et à la fin, un diplôme nommé DESI (Diplôme d'Etudes Supérieures d'Instituteur).
L'Etat était généreux, à cette époque.

C'était le temps où j'ai pris du temps à faire autre chose.
Du temps à faire la fac de Droit.
Et du temps à faire des filles (les premiers modèles de la collection se reconnaitront).

Le temps passa : c'est son habitude.

En 1989, mon inébranlable certitude de ne jamais être enseignante s'était étrangement et brutalement métamorphosée en certitude que j'avais une vocation : l'enseignement.
C'était une époque de temps mouvants.
Pour passer le concours de l'agonisante Ecole Normale (elle vivait ses dernières heures, mais on l'ignorait plus ou moins, sauf en milieux informés), il fallait un sésame augmenté : le DEUG (qui existait encore : décidément, tout ce que j'obtiens en matière de diplômes semble frappé de malédiction à court terme). La barrière du concours surmontée, deux années d'études à l'EN nous attendaient, où on estimait utile de nous raconter un peu ce que c'est un enfant, ce que c'est un élève, comment, des fois, ça apprend, et des fois, ça bloque. On employait des grands mots : pédagogie, didactique, apprentissage... Et pendant ce temps-là, pendant ce temps passé à user nos fonds de pantalon ou de jupe sur des bancs d'écoliers montés en graine, on était quand même payés. Oh, pas grassement ! Mais de quoi vivre. Evidemment, on en prenait encore pour 10 ans, de ce temps-là.
Quand on ressortait de ces deux années "Retour à la Communale", après des stages "sur le terrain", des exams et tout un tas de mini-mémoires disciplinaires à écrire et soutenir, on avait un bac, un truc à accrocher au mur qui s'appelait toujours le DESI et un niveau estimé à bac+4.
Tel était mon petit viatique lorsque je suis partie à Floirac faire la classe à des CM1.
L'Etat était un peu moins généreux, il nous payait moins longtemps à apprendre à apprendre, mais ça allait encore. Et on s'appelait toujours des instits.

Il fut un temps, où l'année s'appela 1991.
Et où le mot d'ordre fut : REVALORISATION (du statut d'enseignant).
Cette année là naquit une nouvelle race d'établissements : l'IUFM. Institut Supérieur de Formation des Maîtres.
Institut, ça pose. C'est mieux qu'école.
Universitaire, no comment.
Formation, ben oui, quand même.
Maîtres, le respect s'impose.
Cette fois-ci, la revalorisation est en route, sans erreur possible.

Pour intégrer un lieu si prestigieux, il fallait au moins une licence. Quand même. Le concours laissait tomber le sport, la musique, les arts plastiques et autres joyeusetés présentes aux programmes, mais que, de toute façon, on n'aurait pas le temps s'enseigner correctement.
Comme la licence, ça prouve qu'on est très bon, et que le concours ça montre qu'on est l'élite, les IUFM formeraient donc les futurs maîtres, revalorisés, en une seule année.
Le calcul est simple : c'est toujours du bac+4, mais ça coûte deux fois moins cher à l'Etat, qui ne peut plus se permettre de se montrer si généreux.
Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est un enfant et encore moins un élève, pour ceux qui auraient des velléités de songer à la pédagogie ou à la didactique, eh bien il existe un truc écrit quelque part dans le cahier des charges du métier : "la capacité, intrinsèque à la profession, de se former continuellement, de façon personnelle, tout au long de la carrière".
C'est dit. C'est vrai, quoi, si nous, on ne s'auto-forme pas, qui va le faire ?

Les temps changent : c'est leur nature.
Des gens ont calculé que payer des futurs enseignants un an à travailler à mi-temps "sur le (fameux) terrain" et à mi-temps à s'ennuyer à l'IUFM (qui n'a pas su, le malheureux, condenser 3 ans d'enseignement en une 1/2 année, et qui, de fait, n'arrive plus à grand-chose), ça revient cher.
Et payer cher du fonctionnaire, ce n'est plus dans l'air du temps.
La solution est donc toute trouvée : on va REVALORISER (le statut des enseignants).
Le concours, bien entendu, on le garde : il est la PREUVE absolue de la qualité du recrutement.
Le diplôme minimal pour passer le concours, on va le mettre à la hauteur qu'il mérite : le master, allez hop, on n'y va pas avec le dos de la cuillère hein !!!
Bac+5, les instits. Heu, pardon, depuis l'IUFM, ce sont des Professeurs des Ecoles, siouplé !
Après, faut pas zexagérer non plus : on va pas les faire stagner encore une année à apprendre des trucs, doués comme ils le sont déjà !
Non, ils vont directement partir en classe.
Mort des IUFM, qui iront rejoindre l'EN dans une tombe pour vieux fossiles.
Parce que, franchement, prof, c'est un métier facile, qu'on apprend en faisant un master, quel qu'il soit, à la fac. C'est évident, non ?
Et donc, d'ici un à deux ans, on ne paiera plus que des profs à science infuse. Les parents (au mieux) ou les étudiants eux-mêmes, auront payé les études. Généralistes, lesdites études ? Pas grave.
Ils auront du mal sur le terrain, les profs, vous croyez ?
Ben non. Pourquoi ? Ils auront un master. On assure, quand on est revalorisé, non?
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28 mai 2008 3 28 /05 /mai /2008 11:52
Eh oui, mes chers abonnés, ça y est, comme le savaient les intimes depuis quelques jours : la Trinité, le centre spirituel de DonaldVille, la Maison de Charlie, on n'y fait pas le KT cette semaine... Les magnifiques salles d'édification sont en effet devenues les coulisses d'un prestigieux tournage cinématographique. Quand je vous disais qu'ici, la Croisette, on la regarde de haut !!!

Alors, pour ceux qui ne passent pas devant notre église, sachez qu'en plus d'avoir annexé les salles de KT et la chapelle pour en faire les loges, le maquillage etc, le staff a aussi envahi le pourtour en installant des barnums spectaculaires (on pourrait peut-être en démonter un nuitamment pour la communion de Victor, non?)
Ce matin, à 8h et des miettes, votre gazetière, ponctuellement conductrice de la Navette DonaldVille-Aéroport, a pu voir Anémone, avec un bonnet sur la tête, là, devant NOTRE entrée des Artistes de la Paroisse ! Dommage, je n'avais pas mon appareil photo, et l'Alliance Franco-Allemande, partie s'aimer à Manchester pendant 3 jours pour changer d'air, n'avait rien non plus pour immortaliser l'instant.
Enfin... Sous le soleil matinal, imaginez, la cité en joie avec un tel événement : c'est trop chouette !!!
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27 mai 2008 2 27 /05 /mai /2008 19:36
Une mission exotique pour les Angels.
Quand elle auront rempli leur cochon rose de plein de petites pièces brillantes et de gros billets craquants.


Bonjour, les filles !

Bonjour, Charlie !

Destination : les environs de Dakar, au Sénégal. Pas mal, hein?
Mission : photographier en direct le lac Retba.


Pourquoi, Charlie?

Parce qu'il est ROSE les filles!

L'Angel 3 a eu sa part de lacs bleus, alors maintenant, au tour de ses copines!
En attendant le cliché historique, Bosley va vous montrer à quoi ressemble notre merveille locale :
 


Sachez que c'est un lac salé, où on aurait du mal à couler : la densité du sel oscille entre 80 et 300 grammes de sel par litre, contre 32 grammes dans l'eau de mer normale !
S'il fait très chaud ou que le vent souffle, la salinité augmente, et avec elle, l'intensité de la couleur rose, due à la réaction de cyanobactéries, présentes dans l'eau,  qui sécrètent un pigment rouge pour se protéger du sel.
De plus, selon l'heure et la lumière, il passe par toutes les nuances du rose, jusqu'au mauve en fin d'après-midi.
Alors, prêtes,, les filles?


Ah oui, Charlie!

Encore un conseil, les filles...
Si vous voulez voir comment on flotte dans le Lac Rose, pensez à vous enduire de beurre de karité pour ne pas sécher comme des harengs! (j'ai pas dit des morues, hein!)

free music
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26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 18:20
C'était mon jour, et j'ai bien fait d'en profiter.

Jour de votre gazetière. Pluie à Bordeaux, vent.... Brrrr...
Au bord de l'eau, renseignements téléphoniques pris, le ciel serait plus dégagé.
On y part, courageusement. maillot et serviette, qui ne serviront pas !
En effet, vers 13 heures, le soleil a des velléités d'apparition. Les amis de mes amis... Une maison à Ares. Enfin, une maison... Un atelier de peintre. L'ami de l'ami, ex-quelque chose de sérieux, dans le commerce, ou un truc comme ça, est devenu artiste. A plein temps. Il en vit. Pas si mal, apparemment. Selon ses propres critères d'artiste, évidemment. Son luxe n'est pas ostentatoire, mais il est là où il aime, dans un deux pièces-véranda de bric et de broc, surencombré de toiles, chevalets, pots, couleurs...
Et le jardin.
Le soleil, qui a gagné à force de volonté et de ténacité, m'attire comme un aimant.
On me sort un fauteuil énorme, trop large, ce fauteuil, un reste de l'ancienne locataire, un mètre d'envergure au moins!!!
Me voici au soleil, donc, comme dans un nid douillet. Remontage du bas du jean pour dorer me dorer mollets. Pas de chance, j'ai un pull... Qu'à cela ne tienne, on me proposera un t-shirt. Lequel préfères-tu ?
Le rouge et blanc à rayures : ça fait tellement couleur locale !!!
Pliée dans mon demi-canapé, je ronronne sous l'ardeur des rayons dorés.
Ailleurs, on marche, on se baigne, on pêche...
C'est mon jour, et je suis au bord de la sieste, à la lisière des semi-rêves. Rien ne bouge ici. Silence.
La pose est super, et les rayures, ça pète! Je vais te croquer. Quand il dit "croquer", c'est à la manière d'un peintre, hein !
Je dois faire quoi ?
Pas bouger pendant 10 minutes à partir du moment où je peins. Possible ?
Je pense que ça devrait être faisable, au vu de ma vivacité de lézard sur une tuile !
Plongée insensible.
J'ouvre les yeux, je m'étire. Fini?
Depuis un moment. Regarde.
Oh, j'aime! Comme il me plairait de savoir rendre une impression du bout du pinceau en quelques minutes !
Cou d'autruche, petite tête sans traits, la fille dans le fauteuil, c'est votre gazetière vue par l'artiste. Qui fume beaucoup de trucs que je n'identifie pas. Qui sait stimuler sa créativité, dira-t-on. Et qui m'a fait de beaux pieds, au premier plan. Pour une fois, j'aime mes pieds.

Il te plaît, ce tableau, vraiment? Alors, comme c'est ton anniversaire, je te l'offre.
Youpi ! C'est mon jour, aujourd'hui, j'ai "fait" modèle !!! :-)
L'oeuvre ira flatter mon narcissisme au mur de La Bottine, où je n'expose que des travaux de gens que je connais. Uniques.
C'était mon jour.
Et j'ai bien fait d'en profiter.
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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 10:01

Dans une immense vague d'amour, entourée de compagnons de choix, j'ai atteint cette nuit le sommet de ma très chère quarantaine... ;-)
Et tout cela, croyez-moi (enfin ceux des abonnés qui n'étaient pas dans ce tourbillon à Duffau Square Manor), tout cela dans une tornade éclatante de toutes les nuances possibles du ROSE, du plus pâle et nacré, au plus extrême, en passant par le rouge franc et loyal !

Votre gazetière a eu sa dose de sa couleur favorite, sous toutes ses formes : roses des jardins, roses de fleuristes (pénurie de vases à la Bottine!), pots vernis, boîte angélique, jarre de paille, lectures à se régaler, les roses et les orties de Franciiiiiiiis, du parfum pour mon cou, une petite croix en diamants rose pour mon poignet, un super rouge à lèvres de luxe plein d'or, un sac à paillettes qui en jette, des fleurs vivantes roses ou violettes pour mon balcon chéri, pendants de nacre d'une nuance à faire pâlir les sirènes pour mes oreilles, miroir pour me mirer ainsi parée et parfumée, ou encore, de quoi mettre de la couleur sur les murs blancs de mon antre de fée...
Je ne vous parlerai pas des couleurs superbes et vites disparues qui décoraient les tables... On se régala : SuperMoune nous préparait tout cela depuis deux jours !
Comme sur la Croisette, nous eûmes ensuite droit à une projection en bonne et due forme, de l'oeuvre vidéo de notre journaliste.

Bref, du bonheur en lingots !!!

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