18 mars 2008
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Pollux de la Source qui coule (dit l'Homme aux doigts d'or) a publié ce jour un très intéressant article sur l'apprentissage par imitation et ses subtilités.
Nul n'ignore parmi le lectorat de la Gazette, que la psycho-péda et autres sciences cognitives passionnent la rédaction. Interrogation perpétuelle des pédagogues : comment l'être humain, et notamment l'enfant, apprend-il ?
Cela fait très très très longtemps que l'on se penche sur le problème ! Les tests évoluent, évidemment, mais depuis l'Antiquité, on s'interroge sur le capacités cognitives du petit d'homme, et, notamment, sur l'influence de son milieu sur ses apprentissages. Quid de l'inné, quid de l'acquis ? Même Marivaux, dans sa comédie "La dispute", écrite pour le théâtre ", imagine une expérience propre à déterminer si la nature "mauvaise" de l'Homme est intrinsèque ou liée à une influence délétère de la société : quatre nouveau-nés sont élevés séparément en forêt dans le plus strict isolement, deux filles et deux garçons. A l'âge de 18 ans, on les "libère" et les fait se rencontrer... Que se passera-t-il ? Marivaux décide que que l'inné l'emporte sur l'acquis, et ces jeunes gens-là sont identiques à tous leurs pairs élevés en société ! Sans entrer dans les détails, comprenez que les garçons sont vantards et insconstants en amour, tandis que leurs compagnes sont coquettes et narcissiques.... Charmant ! Façon théâtrale et divertissante de clouer le bec aux philosophes idéalistes qui croient l'Homme naturellement bon : cela n'empêchera pas Rousseau de "mettre au monde" son Emile deux décennies plus tard !
(Emile et le vicaire)
Les enfants "sauvages", que l'on retrouve régulièrement à des époques différentes, ont donné lieu à de très nombreux récits plus ou moins véridiques, plus ou moins inspirés, plus ou moins fantasmagoriques. Qui ne connaît Mowgli ou Tarzan ? Mais également ces histoires rapportées comme "vraies" dès le Moyen Age, d'enfants élevés par des loups ou des ours, dont le fameux Victor de l'Aveyron (ben oui, Pollux ! ;-) ) trouvé au XVIIIe siècle âgé d'environ 10 ans.
Ce pauvre petit fut l'objet de bien des expériences, on le trimballa et le montra, puis, ne sachant plus qu'en faire car il ne progressait quasiment pas, on le confia à un médecin qui s'occupait des sours-muets. Son "humanité" se développa peu à peu, il eut accès à l'expression de sentiments tels la colère, la peine, la joie, la reconnaissance et même de besoin de tendresse, sentiments qui lui semblaient totalement étrangers jusqu'alors. Il alla, à force de travail, jusqu'à savoir reconnaître chiffres et lettres et même à écrire le mot "lait" , aliment dont il était friand. Mais rien de plus... Il vécut en reclus, sans parler jamais, et mourut à 40 ans.
Au milieu du XIXe siècle, il y eut le fameux cas "Kaspar Hauser", jeune ado mystérieux apparu subitement à Nuremberg, jambes torses, quasiment aphasique... On ne parvint jamais à démêler son histoire, mais on suppose qu'il vécut, pour des raisons mystérieuses, seul dans la fosse d'un donjon... Manifestement doué d'une vive intelligence malgré ses difficultés de communication, on supposa qu'il était un héritier malvenu d'une noble famille : alors qu'il commençait à pouvoir donner des précisions sur son enfance, il subit deux tentatives d'assassinat dont la seconde lui fut fatale.
En Inde, deux fillettes élevées par des loups furent découvertes en 1920. Marchant à quatre pattes, elles griffaient, mordaient et avaient une ouïe et un odorat très développés. Elles avaient même une vision nocturne incroyablement efficace... Revenus dans la société humaine, elles apprirent à marcher à peu près debout et purent prononcer quelques mots. Elles moururent très vite, bien avant l'âge adulte...
La Gazette cherche un cas où l'histoire, déjà mal commencée, ne finit pas tragiquement...
Alors...inné, acquis, qu'est-ce qui s'apprend, qu'est ce qui est intrinsèque à notre nature ? Et peut-on acquérir n'importe quand ???
Autant de questions qui n'ont pas fini de nous interroger.
18 mars 2008
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Joies de la vie de groupe.
"Je me le tenais à moitié gosier, ce ................ (compléter selon votre expérience et vos goûts : gâteau au chocolat - blanc-manger coco - paquet de bonbons - poulet fermier rôti....) et vous ne m'avez laissé que des rogatons !"
Rogatons. ( Chez nous, à vrai dire, on dit plutôt rougagnoles... )
D'où vient ce petit mot charmant destiné à nommer les résidus, les petits bouts de rien qui restent et ne valent plus grand chose ?
Eh bien, chers lecteurs, sachez que son ancêtre était un fort honorable verbe latin, rogare. Je vois bien que vous réagissez, amoureux de la langue que vous êtes... Rogare, ça donné rogatoire (telle la commission du même nom)... cela signifie "demander, interroger"... Un rogatum, pour nos anciens, était donc une demande... Mais de là à devenir un malheureux débris sans valeur... quelle déchéance ! Que s'est-il passé dans cette famille pour en arriver là ? De rogatum à rogaton, on suit sans souci. Le rogaton du 14e siècle, était une requête. Mais une connotation ironique s'est immiscée peu à peu... Le rogaton devint un poème élogieux destiné à flatter un puissant pour en tirer, évidemment, quelque bénéfice financier. Pensez à notre ami le renard lorsqu'il s'adresse au vaniteux corbeau : il ne lui déclame rien d'autre qu'un rogaton (manière subtile et hypocrite de réclamer son fromage) ...
[Là, à ce point précis du discours, je dis ATTENTION ! N'allez pas me faire dire ce que je n'ai pas dit : je n'ai nulle part mentionné que le rogaton = un fromage ! ]
Bientôt synonyme de texte littéraire sans intérêt, puis de chose de peu d'importance, insignifiante, notre rogaton devint une bricole, un "rossignol" comme on dit aussi.
Bricoles, babioles...
Vétilles broutilles...
Rougagnoles et rogatons !
Au pluriel, il perd définitivement toute superbe, et c'est ainsi que nous le connaissons de nos jours, bien loin de ses nobles origines !
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Le petite brocante des Mots
18 mars 2008
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13:32
Coup de folie au CDI transformé en kiosque à journaux !
La Doc -Toc-Toc, absente hier pour cause très sérieuse de stage professionnel, a donc dû transporter, déballer, trier, ranger, installer les quelques 150 magazines et autres formats reçus pour la Semaine de la Presse!
Les grilles d'exposition sont de sortie, ainsi que des étendages façon tzigane : mes journaux accrochés par des pinces à linge à des cordes de chanvre...
Presse "féminine" (j'apprécie le sous-entendu de cet attribut : frivolités et ragots...), magazines d'actualité, presse sportive (ah ! le jaune inimitable du Midi Olympique!), presse économique (pourquoi en ai-je tant ? Qui, ici, va lire Le Revenu ou Investir ? mais bon, on les a, on les met, ça fait riche ! ), périodiques culturels, publications jeunesse, gratuits, presse nationale, presse régionale, journaux professionnels et revues d'associations... Il y en a pour tous les goûts !
Pour pimenter le tout, votre gazetière a affiché la carte du monde de la liberté de la presse, éditée par Reporters sans Frontières.
Je tiens à préciser, pour certains lecteurs, que le PORTUGAL est mieux noté que la France. Moins de censure : il a droit à la couleur blanche (purété ? royauté? ). Je dis "CHAPEAU!" (ceci étant , je ne dis pas "chapeau" par hasard, vous connaissez votre gazetière... je le préfère à "Bravo !" par exemple, pour cause de champ linguistique adéquat, ça va de soi!)
Il est 14 heures moins des miettes... le Grand Concours du CDI commence dans quelques minutes...
Questions de vocabulaire sur la presse... Citez un magazine de ci... un journal de ça... à quelle heure a lieu la conférence de presse d'un quotidien national...
Les indices sont partout, en piste les journalistes en herbe !
Madame, madame, on gagne quoi ? Des livres ?
Oui !
Oui !!! :-D
Joie partagée, toute simple. Y a des jours en particulier où j'aime encore plus mon métier !
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La Gazette de Milcounor
17 mars 2008
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(Sur l'air de Barbara Anne des Beach Boys)
Il a 200 ans !!! Le 1er mars 1808, Napoléon 1er créait le baccalauréat. La première session, en 1809, concernait 31 candidats qui ne présentaient que des épreuves orales portant sur les auteurs classiques, la rhétorique, l'histoire, la géographie et la philosophie (pas de bac C ou S en ce temps que les moins de 200 ans ne peuvent pas connaître).
En 1830 apparaît la première épreuve écrite, et en 1853 s'ajoute une épreuve ne langue vivante. En 2007, les candidats de terminale étaient 621 532, soit 10 fois plus qu'en 1960 (ce qui fait plus de 4 millions de copies à corriger pour les profs, au lieu de partir en vacances en période économique!)
Comme il faut trouver chaussure à son pied, il fallait trouver un bac pour chacun : on a donc inventé les bacs technologiques (1968) et professionnels (1985). La proportion des bacheliers dans une génération est passée de 1% en 1900 à 20% en 1970, 40% en 1989 et 64% en 2007 (qui a dit que TOUT LE MONDE A SON BAC DE NOS JOURS ???) Devant ses petits frères techno et pro, le bac général régresse : il touchait 37% d'une génération en 1995 contre 35% en 2006 (et 2%, ce n'est pas rien !). Cela va vous étonner grandement, figurez-vous qu'on observe de forts écarts entre groupes sociaux : le taux de réussite au bac est de 87% pour les élèves dont les parents sont cadres, 76% pour des parents ouvriers. Incroyable, non ??? La Gazette vous en bouche un coin, hein ?
"Et dans l'Europe ?" Vous demandez-vous, curieux lecteurs... (et si jamais vous ne vous le demandiez-pas, eh bien, vous allez quand-même obtenir la réponse, céty pas purement merveilleux, cette information gratuite qui vient jusqu'à vous sans effort??)
Selon les statistiques de l'UNESCO, le taux brut (koicéty???) de diplômés de du secondaire s'établit à 51% en France contre 92% en Finlande et 74% en Italie. (NDLR : snif!) Et le taux brut de diplômés du supérieur est de 38% chez nous contre 74% et 55% chez les susnommés... Deux exemples, un au nord, un au sud, pour vous montrer que notre fameuse "inflation scolaire" n'est point si évidente que ça... Je n'estime pas utile de vous assommer avec toutes les statistiques : je SAIS que vous ne les lirez pas... mais pour les pro et les anti- américains, afin de leur donner du grain à moudre chacun selon son point de vue, les chiffres pour les Etats-Unis sont : 73% et 62 %. On parle que quantité, pas de qualité, je rappelle...
Et après le bac (pour ceux qui l'ont, et même, finalement, pour ceux qui ne l'ont pas) ?
Ah ça, c'est une autre histoire...
Maintenant, en l'honneur de ce bon vieux bac, on danse ???
16 mars 2008
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Il eût été sans nul doute d'actualité de publier aujourd'hui au sujet de la fête des Rameaux.
Jérusalem, le petit âne, la foule en liesse, le tapis de manteaux, la forêt de branchages...
La Gazette a cependant choisi un autre saint sujet qui lui tient à coeur :
Saint Patrick.
Nul n'ignore que le 17 mars, tout ce qu'il y a d'irlandais dans le monde fête ce Saint homme, patron de l'Irlande, ça va de soi, et également... des ingénieurs!
Ce Britto-romain né vers 385 au Pays de Galles, fut enlevé à l'âge de 16 ans par des pirates irlandais. Devenu berger pour le compte d'un chef de clan, comme notre petite Jeanne quelques siècles plus tard, il entend des voix, qu'il identifie rapidement à celle de Dieu le père (directement, ben oui). Il y gagne une foi solide (qui lui faisait défaut avant, faut l'avouer).
Grâce à un rêve où le Seigneur s'adresse à lui, il parvient à s'échapper quasi miraculeusement, en 411.
Il repasse chez lui mais n'y reste pas (l'ingrat! A cela on voit que ce n'est pas un Portugais pour qui la famille, c'est sacré!!!). Il va étudier la théologie en France, y devient prêtre et de longues années plus tard, en 432, il repart en Irlande pour évangéliser la population. Réputé pour son courage, son humilité et sa bonté, il prêche, bâtit des églises, des écoles, des monastères.
Sa bonne idée, restée célèbre, est d'enseigner la Trinité en illustrant son propos avec la feuille de trèfle, familière aux habitants des lieux.
Elle deviendra ainsi le symbole de l'Irlande,
que ses habitants portent à la boutonnière en ce jour de fête nationale!
La fête, qui a toujours lieu durant le carême, donne droit à une rupture du jeûne (ouf !!!). Si elle tombe un dimanche, elle est même reportée au lundi : pas question d'y couper, la Saint Patrick c'est sacré, foi d'Irlandais!
Foi d'Isabelle, aussi, qui ne manquera pas, pour se conformer au rite, de trouver dans sa garde-robe, un truc VERT à arborer demain. Ben oui, c'est la tradition!
Vert Irlande, et vert Espérance : ça me va !
Alors, par anticipation :
BONNE FETE
aux Patrick, Patrice et autres Pãdraig, (j'en connais),
ainsi qu'aux ingénieurs (j'en connais aussi),
aux Irlandais (j'en ai même dans la famille)
et aux amateurs de bonne bière (ça ne manque pas!)
Voeux de la Saint Patrick
Puissiez-vous avoir
Une maison contre le vent
Un toit contre la pluie
L'amour d'une famille unie
Puissiez-vous toujours être entourés
De gens joyeux et d'éclats de rire
De tous ceux que vous aimez
Puissiez-vous avoir
Tout ce que votre coeur désire.
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La Gazette de Milcounor
15 mars 2008
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18:59
C'était le titre de la dernière conférence chez les Doms, présentée par le très populaire Gérard Osterman (10 fois plus de public que pour Antoine-Marie, son rosaire et ses brebis égarées...;-) )
Ce psychiatre aussi intéressant que sympathique abordait donc le monde des émotions, et des émotions, nous en eûmes, car, bien entendu, l'ordinateur ne parvenait plus à se connecter au projecteur.... Après un bon petit quart d'heure où le seul moine-informaticien du couvent a tenté d'intervenir, sans succès mais avec beaucoup de cabotinage, Pollux a eu l'idée de génie de redémarrer le PC... Miracle, le cours pouvait commencer !
Après avoir admis que l'émotion fondamentale, primitive, basique est une émotion d'anticipation, la peur, nous fûmes appelés à dire quelle différence nous faisions entre émotion et sentiment.
Pour nous, le sentiment était plus profond, plus intense, réfléchi, il avait du sens et supposait la conscience du sujet. On le jugeait exempt du caractère envahissant de l'émotion, avec son cortège de manifestations physiques plus ou moins gênantes. Bien entendu, le sentiment naît d'un état émotif, mais il faut plus de subtilité pour le ressentir : la tendresse n'est pas uniquement la "bouffée de tendresse"....
On a décrété le sentiment plus durable que l'émotion, dont le caractère est plus vif, plus instantané, et qui surgit, nous envahit, même, alors que le sentiment s'installe petit à petit.
Il paraît que nous avions raison... mais que la nuance n'a en réalité pas grand intérêt, car sentiments et émotions servent à la même chose : nous informer continuellement sur notre équilibre intérieur et l’état de nos besoins. Ils ont toujours une base physique : ils naissent dans notre corps, et c’est à travers nos sensations que nous pouvons y avoir accès. Mais ils ne peuvent être réduits à des sensations car ils comportent toujours une signification psychique. Ils sont là pour nous alerter.
Par leur caractère envahissant, les émotions nous laissent moins le choix de les ignorer. Elles forcent la porte de notre conscience dans des situations qui comportent une certaine urgence. Pas forcément une urgence plus importante qu'une autre, mais un déséquilibre plus avéré, moins supportable.
Les sentiments nous transmettent des messages plus nuancés et plus subtils, que nous pouvons facilement ignorer s’ils nous semblent inopportuns, voire même les repousser avant qu’ils nous apparaissent consciemment. Ils permettent une adaptation plus précise et plus continuelle en nous fournissant les premiers indices d’un manque ou d’un déséquilibre.
Si nous n'en tenons pas compte, les émotions risquent de prendre le relais, en nous donnant des signaux plus intenses et plus envahissants, que nous ne pourrons ignorer aussi aisément...
Il apparaît que dans tous les cas, être à l'écoute de nos émotions est fondamental pour notre survie psychique. On rapporte des cas d'accidentés ayant perdu tout contact avec leurs émotions et qui, dès lors, mènent des vies catastrophiques car ils ne savent plus prendre les bonnes décisions !
Je ne referai pas ici toute la conférence, soyez tranquilles!
Je dirai juste, chers lecteurs " Ecoutez vos émotions, laissez-les vous traverser...et quand elles deviennent moins envahissantes, tentez de réfléchir calmement, essayez de voir pourquoi elles vous traversent... et ce qu'elles ont à vous dire !"
Ensuite ?
Ensuite : ben ... faites au mieux !!!
;-))
14 mars 2008
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Et si Shrek devenait un vrai film ?
Elle court, elle court, la petite blague...La Gazette s'en amuse,
alors elle s'en fait le relais...
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Le Cabinet des Curiosités
13 mars 2008
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Chers lecteurs, permettez-moi de vous parler aujourd'hui d'un blog que certains d'entre vous connaissent peut-être déjà : il s'agit de Papilles et Pupilles, animé par une Bordelaise qui allie inventivité culinaire et art de photographier ses réalisations.
Franchement, même votre gazetière, ça lui fait envie, c'est dire!!!
On y trouve des petites merveilles pas forcément difficiles à confectionner, et qui, en toute sincérité, "en jettent" diablement!!!!
Par exemple (et il paraît que c'est bon !!!), ces adorables petites sucettes de tomates cerises au caramel et graines de moutarde (dites également tomates d'amour, comme les pommes leurs grosses cousines...)
ou encore, ces bouchées chèvre-raison-pistache ou pavot....
On salive, non ?
Et les desserts.... !!!
Il y a des dizaines de recttes de petits gâteaux, je ne sais combien de MACARONS, et, dans la catégorie poids-lour, je ne résiste pas au très appétissant cake aux marrons glacés et à la crème de marrons !!!
Enfin, voilà, la réclame est faite : courrez sur Pupilles et Papilles, gardez-le dans vos favoris et faites savoir à la Gazette ce que vous en pensez !!!
http://papillesetpupilles.blogspot.com/
12 mars 2008
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... tirée du Livre des Proverbes, chapitre 3, versets 13-14.
Heureux l'homme qui a trouvé la sagesse,
heureux celui qui possède l'intelligence !
Car le gain qu'elle procure est préférable à celui de l'argent,
et le profit qu'on en tire vaut mieux que l'or.
11 mars 2008
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Eh oui, chers lecteurs, encore une vedette dans la famille !
Après la désormais très célèbre et récurrente taupe-modèle Anna, dite l'Alpha, voici notre Lily Rose, alias la Belle ZeuZeu, dite l'Oméga !
Point d'Azimuts pour cette dernière, mais Okapi n° 844 (en vente demain!).
Elle fait non seulement la couverture (chhhhh.....!!!!) , dans une pose très glamour,(de dos, je me retourne, et le visage adouci par mon ondulante mèche, je vous lance un regard qui en dit long....) mais figure également dans les pages du magazine pour illustrer une enquête sur les collégiens jugeant leurs horaires... Il paraît, sans dévoiler le sujet, que les heureux enfants de Clisthène (pas les libres enfants de Summerhill, non!) seraient les mieux lotis parmi leurs collègues de France et de Navarre...
(Lily, c'est la fille sous le "i" d'okapi !)
Sans photo cette fois, mais dans un article des très sérieux Cahiers pédagogiques (que je dépouille pour mon CDI), la même glorieuse rejetonne du Georgius Circus est carrément citée (et sans erreur sur l'othographe de son prénom) : en l'occurrence, elle donne son avis sur une situation de racket.... avis empreint de sagesse et de jugement, cela va de soi.
Les covergirls sont aussi des filles pleine de moralité , sachons-le.