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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 06:45


Chance et Bonheur à tous mes lecteurs !
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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 07:14

Derrière une porte bleue m’attend mon petit monde. L’espace en est étroit : on est sur un bateau, n’allez pas l’oublier ! Mais il se dilate à l’infini, à la taille de mes rêveries.

Tous les détails y sont, je ne puis me tromper, j’ai vraiment embarqué ! Par le hublot (j’ai une chambre avec vue, tout de même !), je puis voir le va et vient des vedettes de liaison qui mènent les passagers du port jusque sur leur bateau.

Comme sur une plage de sable fin et chaud, je m’allonge sur le lit : je suis dans ma cabine ! Je suis dans mon chez-moi, pour quelques heures, pour quelques jours, au milieu de l’immense océan sans limite visible, mon petit univers tiendra dedans ces murs. Ma vie, mon intimité, mes repères seront circonscrits entre ces cloisons , au cœur du paquebot. Ce sera ma bulle. «  Voyage autour de ma chambre.. » Je ferai à mon tour, plagiat admis et consenti, un « Voyage autour de ma cabine ».

En ce lieu clos, bercée par les vagues, caressée par le soleil à travers le verre épais, tenue en éveil par le cri des oiseaux qui suivent le bateau, je voyagerai, lovée dans mon cocon, au pays de mes songeries sans fin.

Je parcourrai des distances incroyables, je plongerai en des gouffres si profonds que jamais explorés, je volerai si haut que je croirai cent fois ne plus jamais savoir redescendre.

Et je verrai des terres qu’aucun pas n’a foulées.

Et peut être mon bateau, qui s’appelerait … l’Etoile, ferait briller pour moi, aux premières lueurs d’une aube tant attendue, la plus belle des îles, ma si belle Avalon…

Et peut être que ce jour là, pour quelques précieux instants, la réalité rejoindrait le songe en une danse douce, magique, sereine.

Et le vent pourrait souffler, la tempête pourrait faire rage, la houle pourrait bien faire tanguer et craquer le bateau de toutes parts, je serais en sécurité, dans ma cabine-bulle, avec au cœur le sentiment que rien ne pourrait m’atteindre, qui ne soit pur bonheur en mon corps palpitant.


NDLR :Ce texte, écrit bien avant que je ne connaisse Yvon Le men, et sans intention poétique consciente, vient d'être exhumé des entrailles de Marguerite lors d'une opération de fouilles-sauvegarde.
J'ai jugé que la Gazette pouvait le publier, (en effet, Angel 2)  en ces heures de Printemps des Poètes et d'Escale du Livre !

 

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30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 13:43
A partir de cette image et compte tenu des textes du jour et du moment de l'année liturgique, en vous appuyant sur vos connaissances théologiques, des événements de votre vie et votre sensibilté personnelle, exposez à grands traits les axes de réflexion d'une possible homélie pour ce dimanche.



Alarme, personne enfermée...

Dans l'évangile, les disciples sont enfermés (ça nous rappelle le récit de la Pentecôte).
Jésus paraît. On ne parle pas ici de fenêtres ni de portes qui s'ouvrent, mais de Sa présence.  Et Sa présence vaut ouverture, c'est ce que l'on perçoit : ouverture des yeux, du coeur, de la foi. Des yeux, dans un sens qui signifie davantage "comprendre" que "voir" : car l'Esprit leur est donné. Leur regard est un regard de croyants, un regard d'initiés, si je puis dire. En ce sens-là, ils rompent leur enfermement dans le doute, la tristesse, la peur.
Thomas n'y était pas.
Lorsqu'on lui en parle (on imagine l'enthousiasme, la ferveur de la relation des événements par ceux qui ont vu !), il ne peut croire. Il doute. Le pauvre est resté célèbre pour ça...
Alarme, personne enfermée !
Personne enfermée dans sa douleur, dans ses souffrances passées, dans ses déceptions cruelles ! Il veut voir les blessures de Jésus, et nous, ce sont les siennes que l'on imagine ! On le comprend blessé, on le comprend "dégoûté, on le perçoit incapable de croire que la Grâce existe, que la Vie est plus forte que tout ce qu'il a vu, que tout ce qu'il a subi, que tout ce qu'il craint de recommencer à souffrir s'il ose croire et que "ça rate" de nouveau !
Alarme personne enfermée !
Qui ne se sent pas comme Thomas, souvent ? Qui ne prefère pas, parfois, "jeter l'éponge", accepter la tristesse, accepter toutes sortes de morts plutôt que d'oser se mettre en danger en "croyant" ? En " y croyant" ?
Qui ne connaît pas de Thomas qui dit "C'est trop beau pour être vrai" ? "Je ne peux pas y croire".
Dans notre évangile, Alleluia, la foi de Thomas est assez forte finalement, et Jésus vient le trouver pour que l'Esprit l'inonde.
Dans notre vie de tous les jours, nous sommes appelés au témoignage, et à la prière, que pouvons-nous faire d'autre ? pour que ces hommes et ces femmes, qui sont les nôtres ou bien des rencontres intattendues, ouvrent leurs yeux sur la Grâce et que la foi se fraye un chemin en eux.
De même pour nous, dans nos heures de doute, quand nous ne voyons plus que nos blessures, et que seules ces blessures nous semblent vérité, que faire d'autre que de regarder autour de nous pour voir, avec le regard de la foi, la résurrection autour de nous, dans notre vie, bien réelle... Se décrisper de nos douleurs, laisser entrer le Christ dans nos enfermements, nos certitudes sclérosantes et s'ouvrir...
Attention, personne enfermée !
Au moins, l'alarme est donnée... On n'est pas tout seul.

Voici, chers lecteurs, mon petit travail de rattrapage pour cette messe que je n'ai pas vécue !
Je me fais ma propre homélie à ma sauce, je sais, ce n'est pas conventionnel, mais au moins, l'exercice a le mérite d'exister et ainsi, je n'ai pas manqué à tous mes devoirs de chrétienne!
Surtout que, hein, j'ai une session de rattrapage ce soir à Notre dame !

Et un grand MERCI à la Cour des Grands qui m'a permis, en me fournissant la photo, ce petit exercice!
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30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 11:13
Eh bien, mea culpa, frères et soeurs, OUI !
Non seulement je n'ai pas sonné les matines ce matin, mais je n'ai pas pu non plus faire carillonner les cloches de la grand messe !

A la gazette, c'est vrai, on a complètement raté le changement d'heure institutionnel !!!

Mussée dans les bras de Morphée particulièrement de bonne heure hier soir, on aurait pu penser que le réveil se ferait en réaction à ce sommeil précoce... Héla, que nenni : il faut croire que votre gazetière a besoin de ces plongées oniriques pour se régénérer ces temps-ci...
Bref, l'oeil pas vraiment vif mais avec la sensation d'avoir dormi en suffisance (quand-même!), accusant les chats affamés de m'enquiquiner à des heures indues pour un dimanche, je posai un pied par terre en toute innocence il y a à peine six malheureux sabliers, constatant sans émotion qu'il était, dixit mon micro-ondes, quelques miettes avant 10 heures.
No stress. Tout va bien. Allo la base, nous n'avons pas de problème.
FAUX !
L'esprit au repos et le doigt candide, j'allume mon portable en hibernation depuis l'heure du petit coucher de la fée...
Salve de bips : la bête s'est réveillée, débloquant d'un coup 24 heures de textos restés coincés dans les limbes de ce portable qui fait de la rétention d'information quand bon lui semble. Avis de messagerie, demandes diverses, textos gentils... Yseult se demandait quel cataclysme s'abattait sur Motolila !!

Et là, subito, un message explose sur l'écran :
changement d'heure pris en compte.

Koué Koué Koué ?
11 heures !
Ahahaha!!!
Lili, on a raté la messe !!!

Derrière moi, le sourire du chat de Cheshire, à côté de celui de ladite Lili, c'est de la bibine !!! :-D
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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 17:21

Je suis de cette ville et mes yeux, du plus loin que je me souvienne, ont toujours pris plaisir à découvrir ces grands monstres marins, à se laisser glisser sur la surface lisse de tous ces ronds hublots.

Déjà, le cri rauque trois fois renouvelé du bateau saluant la ville lors de sa majestueuse arrivée, suivant lentement la courbe de lune du fleuve, réveille une furieuse envie de voyage, de découverte, de nouveauté.

Le rêve nous appelle.

Flânons le long des quais, caressons du regard le flanc blanc et bombé de notre paquebot. La passerelle s’accroche, semblable au harpon dans le ventre de la baleine, mais cette béance-là , bien loin d’être cruelle, est pleine de promesses !

Ah que de fois j’ai franchi, avec pour tout bagage mon imagination, cette planche grinçante au doux balancement, pour entrer en ce hall, brillant de mille feux, tapis rouge, escalier de velours, palmiers luxuriants, pampilles de cristal des lustres fragmentant la lumière…Le Luxe, sans nul doute, ressemble à cette entrée.

Et cependant, je crois, la croisiére que je choisirais se contenterait d’un plus simple tableau.

Je prendrais un bateau de plus modeste taille, un bateau plein de bois d’essences exotiques, un bateau bleu et blanc aux couleurs d’îles grecques.

Pour monter sur le pont où se niche ma cabine, des volées de marches, presque une échelle en fait, qui résonne et grince un peu sous mes pas rapides et sonnants. Des rampes de cuivre, des coulisses de corde, de longues coursives aux portes identiques, je suis sur le paquebot de mes rêves, bienvenue à bord !

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 13:01

Je suis d’une ville du bord de l’eau.

Je suis d’une ville que baigne un fleuve finissant, définitivement appelé à rencontrer le large, à se dissoudre pour mieux se libérer et s’épanouir, un fleuve qui entraîne l’eau claire des montagnes vers un monde salé et que chaque lieue rend un peu plus saumâtre.

Un bras que l’océan tend vers les terres riches, étirant chacun de ses doigts fins et tordus un peu plus en amont.

Un fleuve qui, la moitié du temps, coule bizarrement, remontant le courant, repartant à l’assaut de son pays natal, repoussé malgré lui par la mer capricieuse, qui l’attire pourtant et le reprend ensuite, mouvement balancé sans cesse renouvelé, danse perpétuelle dont on ne sait pas bien qui en guide le pas .

Je suis d’une ville qui va chercher sur l’Atlantique de grands bateaux tout blancs, et qui leur fait la cour, et les ramène à elle, sirène séduisante au chant si mélodieux..

« Venez, venez bateaux brillants et fantastiques, baleines aux milliers d’yeux, à la peau éclatante, grands monstres improbables, remontez jusqu’à moi, laissez vous donc guider, n’en ayez nulle crainte, mon lit est bel et profond !

J’ai pour vous de longs quais qui vous seront une couche accueillante.

J’ai pour reposer vos regards de l’immensité bleue scintillante, immuable plaine immobile et pourtant inlassablement remuante, j’ai pour vous de longues et calmes façades, expression parfaite d’une sage  géométrie, architecture sereine, paradant en sa belle robe si bien taillée, sa robe couleur de nombre d’or…

Et les nuées qui vous habitent, les nuées qui bruyamment s’agitent au cœur de vos entrailles de bois, de fer, de verre, ces nuées pourront s’égailler à la découverte de mes beautés, mes parcs, mes places, mes fontaines, mes larges artères, jusquà la moindre de mes ruelles… »

 

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27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 19:17

A la Grande Fête Annuelle des Docs, qui réunit en deux jours au CDDP de Mérignac tout ce que la profession compte de girondin, le thème 2008 était LES MANGAS.

Eh bien, chers lecteurs, la Gazette a le plaisir de vous annoncer (événement sufisamment rare pour être publié) que c'était une SUPER JOURNEE, intéressante et, je crois, formatrice !

Tous ces malheureux profs-docs pleins de bonne volonté mais un peu dépassés par le phénomène ont pu apprendre un tas de choses sur cette littérature qui nous est bien étrangère, il faut bien l'avouer...

Evidemment, je ne retracerai pas ici ses origines (qui remontent loin !!!) : il y a de très bons sites et d'excellents ouvrages sur le sujet (et notamment l'article de Wikipédia, bien documenté.... Non, il ne faut pas avoir peur de Wikipédia!).

Je me contenterai de vous faire découvrir quelques petits codes de lecture que j'ignorais (n'ayant jamais lu un manga, mea culpa...) En effet, il y a des codes, des symboles graphiques qui font la particularité et le succès des BD nipponnes. Il sont récurrents chez plusieurs mangakas (ce ne sont donc pas des tics d'auteurs) et ils sont reconnus et interprétés par la communauté des lecteurs.

Voici quelques exemples de symboles utilisés :

 

25-Paradise.pngLa goutte de gêne (au début, j'avais compris "la goutte d'Eugène...) fait partie des codes les plus courants : elle consiste en une goutte de sueur de taille anormalement grande qui exprime la gêne extrême chez le personnage qui la porte " Si elle en a la forme elle ne peut pourtant pas être confondue avec une goutte de sueur car elle a une taille et un emplacement bizarres : flottant sur ces cheveux, suspendue au-dessus de sa tête ou derrière son crâne, parfois collée sur la peau de son visage, elle ne s'intègre pas vraiment au dessin du personnage concerné. [...] C'est une sorte d'embarras muet, plus éloquent qu'un long discours."

Les ombres d'épuisement : Lorsqu'un personnage accuse une grande fatigue ou tension qui le laissent sans ressort : "L'auteur le fait alors apparaître avec un visage assombri par des petites hachures verticales (parfois une trame grise) créant une ombre autour de ses yeux ou sur son front. "

Extraits de Grapholexique du manga

L26-Pink.pnga « veine de colère » qui marque le coup de sang brutal est  très fréquente. Ce  code se présente sous la forme d'un gonflement des veines qui saillent sous la peau et forment un delta ou une croix stylisée. Elle se situe en principe sur le visage, mais on peut la trouver aussi sur les membres ou les cheveux… jusqu'à parfois figurer dans la bulle !!!



Il y a également une utilisation fréquente d'onomatopées relatives aux mouvements, actions ou pensées des personnages. Le japonais est beaucoup plus riche que le français en onomatopées, incluant des concepts surprenants tels que l'onomatopée du sourire (niko niko), du silence (shiiin) ou encore du scintillement (pika pika)

Elles ne sont pas toujours traduisibles en français, par exemple celle-ci, très belle :

28-Akiyama.png


Ce signe, est l'onomatopée de la pluie battante (zâ zâ).

Vous avez vu ?? Zâ zâ = pluie battante !!!! ;-D

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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 19:44
Elle a failli mourir mais l'Homme aux Doigts d'or l'a sauvée !
Après un mois de coma éthylique et une greffe de clavier, voici  notre Marguerite en pleine forme, reconnectée, et, summum du luxe,
pourvue désormais de deux petits haut-parleurs et d'un caisson de basses !

CIMG1395-copie-1.JPG
(Séance de spiritisme : Esprits de Pollux et Zébulon, êtes-vous là ???)

CIMG1398.JPG
Regardez-moi ce teint superbe !!!

Gloire à Pollux et longue vie à Marguerite !!!



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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 10:01
Au gré de mes lectures, abondantes et variées actuellement ...
Ils se connaissent à peine, ils s'écrivent.


Je reste sur l’idée que dans un couple chacun doit apporter à l’autre ce qu’il attend. Je ne pense pas être à la hauteur pour t’apporter ce qu’une personne comme toi est en droit d’attendre dans ce domaine là.

Bang ! En écho à un article de la Gazette d'il y a quelques jours...(Communication, interférences...)
Qui peut savoir ce que l'autre attend ?
Qui peut prétendre savoir mesurer  ou atteindre la "hauteur nécessaire" ?
A ceux-là, plutôt que de longues démonstrations philosophiques ou autres débats argumentés, je recommande comme traitement de choc et de fond la (re)lecture de cette insondable merveille qui fait mon régal sans me lasser : Le Petit Prince.

Posologie : un petit chapitre quand on y pense.
Recommandation : essayer d'y penser.
Prophylaxie : en faire une lecture régulière à ses enfants (si on en a).

Chapitre II

(...)

-S'il vous plaît… dessine-moi un mouton…

Quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. Aussi absurde que cela me semblaît à mille milles de tous les endroits habités et en danger de mort, je sortis de ma poche une feuille de papier et un stylographe. Mais je me rappelai alors que j'avais surtout étudié la géographie, l'histoire, le calcul et la grammaire et je dis au petit bonhomme (avec un peu de mauvaise humeur) que je ne savais pas dessiner. Il me répondit:

-Ca ne fait rien. Dessine-moi un mouton.

Comme je n'avais jamais dessiné un mouton je refis, pour lui, un des deux seuls dessins dont j'étais capable. Celui du boa fermé.
Et je fus stupéfait d'entendre le petit bonhomme me répondre:

-Non! Non! Je ne veux pas d'un éléphant dans un boa. Un boa c'est très dangereux, et un éléphant c'est très encombrant. Chez moi c'est tout petit. J'ai besoin d'un mouton. Dessine-moi un mouton.

Alors j'ai dessiné.
Il regarda attentivement, puis:
Le Petit prince
-Non! Celui-là est déjà très malade. Fais-en un autre.
Je dessinai:
Le Petit prince
Mon ami sourit gentiment, avec indulgence:

-Tu vois bien… ce n'est pas un mouton, c'est un bélier. Il a des cornes…

Je refis donc encore mon dessin: Mais il fut refusé, comme les précédents:
Le Petit prince
-Celui-là est trop vieux. Je veux un mouton qui vive longtemps.

Alors, faute de patience, comme j'avais hâte de commencer le démontage de mon moteur, je griffonnai ce dessin-ci.
Et je lançai:

-Ca c'est la caisse. Le mouton que tu veux est dedans.
Le Petit prince
Mais je fus bien surpris de voir s'illuminer le visage de mon jeune juge:

-C'est tout à fait comme ça que je le voulais! Crois-tu qu'il faille beaucoup d'herbe à ce mouton?
-Pourquoi?
-Parce que chez moi c'est tout petit…
-Ca suffira sûrement. Je t'ai donné un tout petit mouton.

Il pencha la tête vers le dessin:

-Pas si petit que ça… Tiens! Il s'est endormi…

ET c'est ainsi que je fis la connaissance du petit prince.
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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 19:47
Qui a été applaudie en entrant à Libération (chose inédite) hier ?
Qui après avoir ressemblé à Mike Jagger a maintenant une tête de vieil Indien ?
Qui a réussi à faire "monter" votre gazetière juste pour un soir à Paris ?
Qui va réussir à faire veiller la même couche-tôt ce soir pour regarder la télé ???

Qui Qui Qui ???

Evidemment, c'est PATTI !!!

patti.jpg
patti2.jpg
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