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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 13:21
Parce que si c'était le cas (mais dans la Bible, on ne dirait pas?) Angel le Petit serait content.
Car oui, oui, oui, comme nous l'a si bien dit le Messire, mon  bestiaire fabuleux d'hier soir se trouve bien sur un bon vieux bateau ! Et encore, je n'avais pas tout mis... On parle aussi de crapaud, de peau de bouc ou de renard, de porc, de mouton...

Par exemple et pour info...
Tout droit sorti du lexique imagé des marins (pas d'eau douce) !

Chatte : Grappin à patte sans oreilles dont on se sert pour draguer les câbles ou les objets tombés à la mer.

Chèvre : Installation de trois mâtereaux réunis à leur tête pour les manoeuvres de force.

Araignée : Patte d'oie à grand nombre de branches de menu filin qu'on installe sur les funes des tentes et tauds pour permettre de les maintenir horizontaux. (...)


Je vous fais grâce des autres, lecteurs bien-chéris, parce que la lecture, m'est avis, n'est pas bien "éclairante" pour les néophytes...
Je comprends parfaitement en lisant ces définitions les grands moments d'hébétude de certains élèves devant les entrées des dictionnaires Robert où, pour un pauvre mot inconnu, ils tombent de Charybde en Scylla...... ;-))


sources :
 http://www.alabordache.fr/marine/espacemarine/dictionnaire/
http://www.defense.gouv.fr/marine/votre_espace/parler_marin/guide_du_matelot/lexique/lexique
et éventuellement, le Capitaine Haddock.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 19:09
Un petit jeu de devinette pour vous, mes lecteurs chéris...;-)

Il y a ici de drôles d'animaux... pour ne pas dire une ménagerie fabuleuse, digne de l'Imaginarium du Dr Parnassus!

On peut y croiser ...

une araignée,
       une chatte,
              un perroquet,
                      une chèvre,
                                un nid de pie,
                                        la queue d'un rat
et, osons, osons, ... le cul d'une poule ...

Mais où sommes-nous donc ?



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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 12:04
... même le Parigot-à-qui-on-ne-la-fait-pas chez qui votre Gazetière passait la soirée d'hier a bien dû avouer qu'il n'était pas désagréable !
Attaqué dès l'apéritif (et pourtant mon hôte, me connaissant bien,  évait délicatement pourvu son réfrigérateur de bonnes petites bières à mon intention), le fameux petit Beaujolais nouveau donna donc à la soirée une teinte résolument chaleureuse et, prouesse paradoxale, rafraîchissante.
Il faut dire qu'on avait de la jeunesse pour nous accompagner, les Andouille Sisters comme je les nomme, qui ont participé à nous égayer la soirée.
Grâce à la gaîté éthylique qu'on avait installée dès le départ (en même temps que le saucisson), grâce au Sablonnat, demeure qui ne connaît ni les voisins pénibles ni les portes fermées (un pseudo-squatt d'artistes, ça a du bon ) au grand bonheur de tous, et des chats entre autres, eux qui par leur libre nature, détestent les contraintes des portes closes, grâce au super ampli Scott des années 70 déniché par le maître des lieux sur la Toile à un prix défiant toute concurrence, on a pu profiter d'une programmation musicale collectivement choisie, allant des Girls bands des années 40 à Patti Smith,(évidemment) en passant par les Doors, les Stranglers...et j'en oublie (un grand moment digne des voyages hallucinatoires de James Morrison fut la mise en route spontanée et inattendue, en sus des Doors, de la  Carioca comme dans les Nuls...!!!)
L'on ne fit pas que chanter, grâce aux vertus de notre rouge et chatoyante petite bouteille : l'on s'effraya en évoquant les  grands films classiques d'épouvante ( la maison du Diable, le Village des damnés, the Others...) et l'on apprit à l'occasion à se servir d'un beau Mac, nous les habituées du PC... pas si évident au départ, hein, les Jumelles ???
Accessoirement, on est quand-même arrivés aussi à casser deux verres : t'as du bol, Guillaume, ça porte bonheur !
On parla littérature amérindienne et l'on goûta un fameux chili à la colombienne, recette donnée par James (prononcer : Ramès, le sieur est de là-bas) ex-et peut-êtr re-futur coloc des lieux.

J'ai le plaisir de vous informer que notre petit vin nouveau se marie parfaitement audit*** chili, et chance !, au gâteau au chocolat qui terminait notre gentille dînette. ;-))

Vint le moment où il fallut quitter notre cher Sablonnat : sachez que votre Gazetière a conduit avec une prudence exacerbée, fort motivée par le désir de ne surtout pas s'offrir la moindre petite occasion de devoir...souffler dans le ballon !

A DonaldVille (sud!)...


et pour les gourmands, quelques recettes qui font saliver à essayer...

miam !

***Rien à voir avec ton audit du 30 novembre, calme-toi, Nath !
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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 13:20
A l'heure qu'il est, lecteurs chéris,  je prépare activement quelques activités de recherche et réflexion sur les Droits des Enfants pour mes classes de 6e à l'occasion des 20 ans de la Convention internationale desdits droits (j'ai écrit "desdits" pas "des dix", hein?), autrement nommée la CIDE.
Et là, ô bonheur ! Google marque l'anniversaire en question avec un logo très frais, très désuet, façon Martine va au square.
Le célèbre moteur n'a pas choisi le droit à la santé (Art. 24) avec un logo représentant le vaccin collectif
de l'Agrippa. ;-)
Il n'a pas choisi non plus le droit à la famille (Art 9), avec Papa, Maman et Tibout au milieu. Ni le croit à l'adoption (Art 21) avec Papa et Maman Black, et Tibout Blanc au milieu.
Ni le droit à l'éducation (Art 28) avec pupitre, tableau noir et bonnet d'âne (ben quoi ?)
Je ne vous énumère pas tous les droits de la CIDE, que les enfants de chez nous connaissent TROP bien alors qu'ils semblent souvent ignorer leurs devoirs...(celui d'OBEIR illico à leurs parents et à leurs profs notamment, et sans moufter, encore!)
Non, Google, qui s'adresse forcément aux pays "archidéveloppés", a choisi l'article 31 qui dit : "L'enfant a le droit au jeu, aux loisirs, à la participation à des activités artistiques et culturelles".

Retenons-le donc, parents exigeants et profs intraitables, avant d'être éduqué et instruit, l'Enfant a droit au JEU.
Quelques idées de jeux et autres activtés artistico-culturelles, donc, pour ceux qui seraient à court d'imagination :

Jeux :

- le "dernier levé" le matin a un gage...

- un grand classique : les "chaises musicales" pour l'arrivée à table...

-"Super Bouclette" : tout lisseur non-débranché sera confisqué

- le "vestiaire musical" : quand la musique s'arrête, tout vêtement non rangé est hors-circuit pour un temps déterminé

- le "cache-cache des objets" qui traînaient

- Allons au bac à sable (avec la litière des chats et la jolie pelle rose)

Activités culturelles et artistiques :

- Je mets le couvert (avec art et imagination)

- J'étends le linge ( activité à contrainte : par couleur, par taille, par matière, par type... Variez les consignes, soyez imagnatifs et peaufinez votre progression pédagogique)

- Je descends les poubelles (et je trie : bac gris, bac vert, bac bleu...)

Parents, ces jeux et loisirs sont un DROIT FONDAMENTAL, ne l'oubliez pas, n'y dérogez pas, vous pourriez vous retrouver devant un trinunal international si vous le négligiez !!!


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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 16:06
Dom, notre "troisième moitié" du CDI, avait eu l'imprudence de les mettre sur la table des nouveautés sans me consulter !
Du coup, j'ai dû arracher des mains de deux malheureuses petites 6èmes les deux livres qui faisaient briller leurs yeux.
Ben oui... "Désolée les filles, mais c'est une erreur s'ils sont déjà en rayon, je dois d'abord les lire avant de les mettre à disposition des élèves..."
Comme si y avait péril pour ces tendres âmes à entrer dans ce monde  hautement bien élevé de la haute société de Manhattan en 1899...
Pffff.... la Doc d'abord !
Même pas honte, non, même pas honte !

Imaginez LE roman qui serait à la fois Autant en emporte le vent, Orgueil & préjugés + Raison & sentiments, Sissi Impératrice et The sex and the city.
Je sais, à première vue, cela semble un brin compliqué... mais je vous assure que c'est tout à fait ça.
En un mot comme en cent : LE LIVRE REGALAGE DE FILLES par excellence.

La couverture m'avait irrésistiblement attirée...
Quelques infos et critiques trouvées dans les "lieux" de confiance m'avaient vite encouragée à intégrer en priorité et de toute urgence l'ouvrage dans ma politique d'acquisition.
Une présentation alléchante et convaincue à ma moitié pédagogique, m'avait fait une alliée partageant d'évidence mon enthousiasme.
Peaufinant côte à côte notre commande, il ne nous fallut pas plus de 2 secondes pour décider que si on achetait le tome 1 il serait ridicule de ne pas craquer pour le tome 2 : la robe rouge sur la seconde couverture étant aussi belle que la robe rose de la première.***
Rebelles....suivi de Rumeurs...

Notre incurable romantisme de princesses rêvant (encore et toujours) du Prince Charmant rencontré au Bal allait sans aucun doute trouver dans ces lectures de quoi se nourrir et se satisfaire.
Ecrasée que j'étais sous la masse de polars et autres thrillers à avaler, c'est donc Fab qui emporta la semaine dernière les deux volumes qui nous faisaient pousser à toutes les deux des soupirs d'envie.
Lundi, elle les ramena comme prévu, sourire aux lèvres : "J'adoooore ! Tu vas te régaler !  Mais par contre... c'est une trilogie...La suite est sortie en anglais...mais pas encore chez nous !!! "
La désolation et l'impatience sourdaient ouvertement.
Sans avoir encore perçu personnellement le manque dans lequel nous plongeait l'absence ponctuelle de suite, je me désolai cependant de confiance.
Et tout cela c'était avant d'avoir imprudemment commencé la lecture !
Car, lecteurs bien-aimés, à peine au milieu de premier livre, Rebelles, je me demande déjà comment je vais faire pour quitter cette intrigue, ce milieu, ces jeunes filles à marier, ces jeunes gens si bien élevés, ces robes de bal... Ces coeurs de braise corsetés sous les baleines d'acier, ces amours, ces trahisons, ces brûlants secrets qu'on dévore de page en page...







Le plus drôle, c'est Dom devant nos petits cris de joie à propos de ces livres de fille, qui envisage de les lire pour "mieux connaître les lectures féminines car je n'y suis pas du tout habitué..."
Tu vas te régaler, mon petit, je t'assure !!!
MDR!
Et en plus, pour mes lectrices, une belle cerise confite sur ce crémeux gâteau meringué, le SITE dédié, où l'on peut même faire un test pour savoir quelle héroïne on serait...et autre menues gâteries bien sucrées!

lRebelles !

*** Pour info : donc, si on allait au bal, Fabienne aurait la robe rouge et moi la rose, on ne s'est pas disputées, on est d'accord. :-)
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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 18:07
x
Voici, lecteurs chéris, un petit mot que j'adore, que j'adore même depuis longtemps et qu'avais pourtant complètement oublié.
Il a surgi un jour dans mon enfance, à je ne sais quelle occasion, mais de la bouche de ma maman, ça, je me souviens.
Je trouvais rare et précieux.
Je sais maintenant qu'il n'est pas rare, mais il n'a rien perdu de son enchantement à mes yeux.
Petit mot désuet, pour désigner un café ou quelque modeste boui-boui, c'est l'estaminet.
J'ignorais à l'époque que c'était un mot d'ailleurs, pas un mot de chez nous. Français, certes, mais d'origine wallonne. Très au nord, si vous voyez ce que je veux dire. Très très au nord, même !
Ce petit mot un brin obsolète et carrément déraciné, arrivé par erreur dans nos contrées, je sais que je l'avais aimé sitôt que je l'avais entendu. Je le trouvais léger, primesautier, printanier.
Bar, c'est d'une mocheté incurable.
Café, sa polysémie ne me plaît guère.
Buvette, ça fait trop kermesse.
Bistrot, trop populaire.
Resto, je n'en parle même pas.
Il y a bien auberge ou taverne, mais ces deux-là, aussi charmants soient-ils, sont beaucoup trop grandioses face à la fraîche modestie du petit estaminet.
Non, franchement, l'estaminet est irremplaçable.
Et pourtant.... Pourtant, il dormait depuis longtemps dans quelque repli douillet de ma mémoire. Une longue hibernation, même : je ne me souviens pas l'avoir employé depuis des temps immémoriaux.
Quel dommage ! Laisse-t-on une perle dans un coffre ou bien a-t-elle besoin de la peau pour briller de tout son éclat  ?
Franchement, ce fut un coup de chance de retrouver. Un accident joli, un clin d'oeil du Hasard, aussi inattendu que possible. J'eus pu retrouver mon estaminet au coeur d'un livre, il m'en passe tant devant les yeux !.. Ou bien lors d'un voyage, ce voyage dans le Nord que j'espère depuis si longtemps.
Eh bien, que nenni !
L'estaminet ne me revint pas en lettres, ni en vrai, mais en image, au détour d'un powerpoint qui, par miracle, n'est pas parti directement à la corbeille (eh oui, lecteurs chéris, comme vous, j'en reçois bien trop pour pouvoir tous les regarder!!!)
Un diaporama sur les moulins du Nord ... (J'ai appris avec étonnement que Don Quichotte serait devenu fou s'il était monté jusque dans notre septentrionale région... Que de  géants "chevaliers" à combattre !)
Là-bas, ce serait donc, semble-t-il, un pays de vent... ;-)
De quoi avoir grand besoin de se mettre à couvert. Ne serait-ce que pour fumer tranquille. Car l'estaminet,  je ne le savais point, est un lieu modeste où l'on boit, certes, mais où l'on fume (fumait...) également! Ainsi dit le Trésor de la Langue Française, dictionnaire en ligne dont votre Gazetière use et abuse :  Étymol. et Hist. 1. XVIIe s. « café où l'on fume »
Comme les moulins de maintenant tournent un peu pour du vent, d'aucuns ont eu l'idée de transformer quelque bâtiment attenant en abri charmant.
C'est donc pour cette raison que cette photo délicieuse d'un estaminet (spécialité locale, je vous rappelle) est miraculeusement apparue parmi les 358 moulins du PPT (ok, j'exagère, mais je vous jure, ils étaient légion, le défilé était interminable).
Petit éclat magique, façon village d'opérette, l'estaminet qui a réveillé la Belle Oublieuse (et ignorante) :


Pour ceux qui connaîtraient (mais qui ???) c'est à Boeschepe (ne me demandez pas comment ça se prononce!)
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 18:33
Sept roses pourpres ... juste pour le plaisir :-)



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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 20:54
Oui, mais pas n'importe laquelle, ok ?
Puisque je n'en ai encore jamais subi une, même pas une tout près de chez moi, au Moulleau ou aux Abatilles (2 T ? 2 B ? je ne sais plus...), j'ai décidé d'attendre carrément la thalasso dernier cri.
La De Luxe.
Je pense que ça ne sera pas pour de suite, de sombres questions politico-techniques risquent encore de retarder la chose.
Mais on garde espoir.
Moi, j'attends dorénavant  la thalasso lunaire.
Cela doit être trop fun, de trempouiller en regardant un clair de terre...

Parce que c'est officiel, n'est ce pas, il y a de l'eau on the moon !!!
Même Gougueul le dit, alors !


Pour l'instant, l'eau lunaire ne fait pas de vagues.. Si j'ai bien compris, elle existerait sous forme de glace ...et de vapeur...?
(à confirmer, je n'ai pas croisé assez d'infos pour me faire une inébranlable certitude!)



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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 14:05
... c'est l'un des auteurs fétiches de mes élèves...
Ewilan, le pacte des Marchombres, la trilogie l'Autre...
Ado tombé dans Tolkien à 13 ans : "Cette nuit-là, je dors peu et je lis beaucoup. Je viens de basculer dans un univers magique. Je découvre Le Seigneur des anneaux (...) La Quête d’Ewilan naît ce jour-là, ou plutôt, l’auteur qui écrira La Quête d’Ewilan naît ce jour-là.»
Un passionné d'heroic fantasy.
Un ancien instit devenu définitivement écrivain il y a  trois ou quatre  ans.
Définitivement, c'est sûr. Mais pas longtemps.
Parce que, hélas, c'était aussi un amateur de moto.
Eh oui, "c'était"...
A 45 ans, dimanche soir, il a rejoint un autre Monde.
Espérons qu'il y trouvera ce qu'il aimait : des créatures étranges, des aventures fantastiques, des terres à explorer, des trésors à découvrir...
Bonne quête, Pierre Bottero...


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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 12:24
Youpi!!!
J'en rêvais depuis un bon moment.
Un peu comme Perrette et le pot au lait. Mais sans le cochon ou la couvée. Juste les vaches.
Je rêvais des vaches, celles qui habitent dans les villes,  les vaches géniales, de races folles mais pas malades.
On en avait vu un troupeau à New York, à Boston, à Sao Paulo, à Londres, à Prague....
Angelicow... Barbie-Q.
On en avait vu partout, et franchement, franchemeeent, quand j'ai découvert ce matin qu'on allait en avoir aussi chez nous, à Bordeaux, en 2010, j'étais RA-VIE !
C'est la Cow parade, et oui, c'est chez nous !


Et qui est l'heureux propriétaire de cet élégant cheptel ? Eh bien, des commerçants, des "boîtes" qui ont ainsi envie de communiquer.
A la Chambre de Commerce, on les invite à acheter une vache blanche en résine (taille réaliste,  poids plus léger : 70 kgs, 7800 zeurox, et attention, y a un stock de 80 têtes, pas plus). Cela, c'est pour les Ceux-qu'ont-des-sous.
Pour les Ceux-qu'ont-des-idées, on les réunit au musée d'Aquitaine, et on leur propose de déposer des projets de déco  pour rendre les bestiaux aussi originaux que possibles.
Le Camp des Ceux-qu'ont-des-sous choisira ensuite un copain dans le Camp de Ceux-qu'ont-des-idées.
Et hop !
"La décoration ne devra offenser personne, quels que soient son âge, sa race***, sa religion".
C'est une exposition politiquement correcte, hein !
Pas de logo ni de slogan non plus : il ne s'agirait pas que ça se mette à ressembler à un coureur du Tour de France ou à un footeux des stades ! C'est peut-être une sorte de biais de promo, mais c'est de l'ART, tout de même !
Du 7 juin au 14 septembre, les bêtes seront lâchées dans la nature (si j'ose dire) et il va sans dire que la Gazette organiser sans doute un OUCETY ou autre truc dans le genre.
Je précise, pour ceux qui auraient visité une certaine Pagode en ma compagnie,  que ces charmantes bovinettes sont censées supporter le poids de TROIS PERSONNES (les Angels, ça vous dit, une petite mission cow-girl ?)
Ensuite, quand tout le monde aura bien profité de ces rencontres insolites, la Gazette est heureuse de vous annoncer que les copines artistes de la vache qui Rit ne seront pas abattues et transformées en chair à pâtée mais qu'elles seront vendues au profit de la banque alimentaire de Bordeaux.
Donc, si vous voulez casser votre petit cochon pour acheter une vache...

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