22 novembre 2009
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12:04
... même le Parigot-à-qui-on-ne-la-fait-pas chez qui votre Gazetière passait la soirée d'hier a bien dû avouer qu'il n'était pas désagréable !
Attaqué dès l'apéritif (et pourtant mon hôte, me connaissant bien, évait délicatement pourvu son réfrigérateur de bonnes petites bières à mon intention), le fameux petit Beaujolais nouveau donna donc à la soirée une teinte résolument chaleureuse et, prouesse paradoxale, rafraîchissante.
Il faut dire qu'on avait de la jeunesse pour nous accompagner, les Andouille Sisters comme je les nomme, qui ont participé à nous égayer la soirée.
Grâce à la gaîté éthylique qu'on avait installée dès le départ (en même temps que le saucisson), grâce au Sablonnat, demeure qui ne connaît ni les voisins pénibles ni les portes fermées (un pseudo-squatt d'artistes, ça a du bon ) au grand bonheur de tous, et des chats entre autres, eux qui par leur libre nature, détestent les contraintes des portes closes, grâce au super ampli Scott des années 70 déniché par le maître des lieux sur la Toile à un prix défiant toute concurrence, on a pu profiter d'une programmation musicale collectivement choisie, allant des Girls bands des années 40 à Patti Smith,(évidemment) en passant par les Doors, les Stranglers...et j'en oublie (un grand moment digne des voyages hallucinatoires de James Morrison fut la mise en route spontanée et inattendue, en sus des Doors, de la Carioca comme dans les Nuls...!!!)
L'on ne fit pas que chanter, grâce aux vertus de notre rouge et chatoyante petite bouteille : l'on s'effraya en évoquant les grands films classiques d'épouvante ( la maison du Diable, le Village des damnés, the Others...) et l'on apprit à l'occasion à se servir d'un beau Mac, nous les habituées du PC... pas si évident au départ, hein, les Jumelles ???
Accessoirement, on est quand-même arrivés aussi à casser deux verres : t'as du bol, Guillaume, ça porte bonheur !
On parla littérature amérindienne et l'on goûta un fameux chili à la colombienne, recette donnée par James (prononcer : Ramès, le sieur est de là-bas) ex-et peut-êtr re-futur coloc des lieux.
J'ai le plaisir de vous informer que notre petit vin nouveau se marie parfaitement audit*** chili, et chance !, au gâteau au chocolat qui terminait notre gentille dînette. ;-))
Vint le moment où il fallut quitter notre cher Sablonnat : sachez que votre Gazetière a conduit avec une prudence exacerbée, fort motivée par le désir de ne surtout pas s'offrir la moindre petite occasion de devoir...souffler dans le ballon !
***Rien à voir avec ton audit du 30 novembre, calme-toi, Nath !
Attaqué dès l'apéritif (et pourtant mon hôte, me connaissant bien, évait délicatement pourvu son réfrigérateur de bonnes petites bières à mon intention), le fameux petit Beaujolais nouveau donna donc à la soirée une teinte résolument chaleureuse et, prouesse paradoxale, rafraîchissante.
Il faut dire qu'on avait de la jeunesse pour nous accompagner, les Andouille Sisters comme je les nomme, qui ont participé à nous égayer la soirée.
Grâce à la gaîté éthylique qu'on avait installée dès le départ (en même temps que le saucisson), grâce au Sablonnat, demeure qui ne connaît ni les voisins pénibles ni les portes fermées (un pseudo-squatt d'artistes, ça a du bon ) au grand bonheur de tous, et des chats entre autres, eux qui par leur libre nature, détestent les contraintes des portes closes, grâce au super ampli Scott des années 70 déniché par le maître des lieux sur la Toile à un prix défiant toute concurrence, on a pu profiter d'une programmation musicale collectivement choisie, allant des Girls bands des années 40 à Patti Smith,(évidemment) en passant par les Doors, les Stranglers...et j'en oublie (un grand moment digne des voyages hallucinatoires de James Morrison fut la mise en route spontanée et inattendue, en sus des Doors, de la Carioca comme dans les Nuls...!!!)
L'on ne fit pas que chanter, grâce aux vertus de notre rouge et chatoyante petite bouteille : l'on s'effraya en évoquant les grands films classiques d'épouvante ( la maison du Diable, le Village des damnés, the Others...) et l'on apprit à l'occasion à se servir d'un beau Mac, nous les habituées du PC... pas si évident au départ, hein, les Jumelles ???
Accessoirement, on est quand-même arrivés aussi à casser deux verres : t'as du bol, Guillaume, ça porte bonheur !
On parla littérature amérindienne et l'on goûta un fameux chili à la colombienne, recette donnée par James (prononcer : Ramès, le sieur est de là-bas) ex-et peut-êtr re-futur coloc des lieux.
J'ai le plaisir de vous informer que notre petit vin nouveau se marie parfaitement audit*** chili, et chance !, au gâteau au chocolat qui terminait notre gentille dînette. ;-))
Vint le moment où il fallut quitter notre cher Sablonnat : sachez que votre Gazetière a conduit avec une prudence exacerbée, fort motivée par le désir de ne surtout pas s'offrir la moindre petite occasion de devoir...souffler dans le ballon !
A DonaldVille (sud!)...

et pour les gourmands, quelques recettes qui font saliver à essayer...
miam !

et pour les gourmands, quelques recettes qui font saliver à essayer...
miam !
***Rien à voir avec ton audit du 30 novembre, calme-toi, Nath !